tag:blogger.com,1999:blog-76280872178325205092024-02-19T13:57:53.829+01:00Journal d'un observateur du marché Event & MeetingRéflexions utiles (enfin j'espère...) pour la stratégie des acheteurs et des opérateurs événementielsLionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.comBlogger25125tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-55401000780720356372014-09-21T19:21:00.002+02:002014-09-22T10:09:47.117+02:00Show de La Défense : Les Petits Français ont bien saisi leur deuxième chance<div class="MsoNormal">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhF2PBmEoE-wqqRcGYoXJvttay0_nz4AG1Db_0aX9KS2-6PEjG-CvCeE3c1s5Vq9nEqw6sdLYnbbCXsaSCf0V79QfmubYH6UfCDMBO-_cowXwZodtLw2AdPRhPAAiR593ve3Z3Z128Hn7C/s1600/IMG_1364.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhF2PBmEoE-wqqRcGYoXJvttay0_nz4AG1Db_0aX9KS2-6PEjG-CvCeE3c1s5Vq9nEqw6sdLYnbbCXsaSCf0V79QfmubYH6UfCDMBO-_cowXwZodtLw2AdPRhPAAiR593ve3Z3Z128Hn7C/s1600/IMG_1364.jpg" height="320" width="239" /></a><a href="http://www.lespetitsfrancais.fr/fr/" target="_blank">Les Petits Français</a> ont de la chance. <a href="http://www.ladefense.fr/" target="_blank">Defacto</a>,
l’établissement gestionnaire de La Défense, leur a renouvelé sa confiance pour
le spectacle multimédia de rentrée, que le quartier offre depuis 4 ans. Après <a href="https://www.youtube.com/watch?v=VZRYliiQakw" target="_blank">« Espace »</a>, le spectacle de l'édition 2013 à mon avis particulièrement raté (insuffisances
scénaristiques, narratives, artistiques, techniques…), en tous cas bien loin de
ce qu’on peut attendre de ces experts du show grand public, personne n’aurait
misé un caramel sur leur victoire lors de l’appel d’offres. Aucun annonceur, en
événementiel, n’offre traditionnellement de deuxième chance. Defacto, si. Et
bien leur en a pris. </div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Un show très réussi<o:p></o:p></b></div>
<div class="MsoNormal">
Car l’édition 2014, qui s’est jouée vendredi 19 septembre, appelée
« <a href="https://www.youtube.com/watch?v=rUKx5JaiWk4&feature=youtu.be" target="_blank">Ici… Ailleurs</a> », a tenu ses promesses : <br />
<a name='more'></a>un scénario autour d'un voyage imaginaire et une narration simples et efficaces, en tous cas lisibles par le plus
grand nombre (même si l’écriture des courts dialogues aurait peut-être méritée
un peu plus de soin) ; des images travaillées, spectaculaires, de toute
beauté (une mention spéciale pour le volcan qui introduit le spectacle), qui
ont parfaitement exploité les hauteurs exceptionnelles de la Grande Arche, mais
dont la diffusion (signée <a href="http://www.etclondonparis.com/" target="_blank">ETC</a>, une garantie technique sur le coup meilleure que PRG l'année dernière…) aurait peut-être mérité
un peu plus de puissance lumineuse et de contraste... Pas assez de budget, sans doute (qui
est malgré tout passé de 300 k€ en 2012 à 430 k€ HT en 2013 et 2014). L’idée, inédite, de
projeter les images sur les marches de la Grande Arche et sur la « grande
toile » suspendue intérieure a donné un nouveau relief et un cadre
original à cet écran d’un soir. Enfin, même si les choix musicaux se sont
avérés un peu ternes dans la première partie, l’évocation de New York et la
diffusion de l’<a href="https://www.youtube.com/watch?v=0UjsXo9l6I8" target="_blank">« Empire State of Mind » d’Alicia Keys et Jay Z</a> ont semblé donner un nouvel allant à un public concentré qui a alors commencé à esquisser
quelques mouvements. Et toute la deuxième partie, plus énergique, a
musicalement sonné juste. Le tout servi par une sonorisation parfaite.</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Un design
pyrotechnique jubilatoire<o:p></o:p></b></div>
<div class="MsoNormal">
Enfin, une mention très spéciale aux séquences
pyrotechniques, jubilatoires. <a href="http://www.grandfinal.fr/" target="_blank">Grand Final</a>, auteur des feux d’artifices, qui, déjà
d’après moi, avait sauvé l’édition 2013, a encore franchi un cap dans
l’expression pyrotechnique. Leurs feux sont, comment dire, signifiants. Leurs
contenus ont du sens, traduisent un message et sont simplement beaux. Grand Final,
véritable designer pyrotechnique, prouve que la quantité de poudre tirée (un
critère qui semble être le seul important aux yeux de beaucoup de
décisionnaires, surtout dans les collectivités) importe peu quand la dimension
artistique est forte. Selon moi, Grand Final est, avec Groupe F (auteur du très beau <a href="https://www.youtube.com/watch?v=RaMZU89Tkos" target="_blank">feu du 14 juillet cette année à Paris)</a>, l’un des tous meilleurs artificiers en
France aujourd’hui, voire en Europe. À titre personnel, les deux me réconcilient avec l’art pyrotechnique, qui a du mal à se
renouveler, alors qu’il jouit d’un pouvoir d’attraction exceptionnel.</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<a href="http://www.dailymotion.com/video/xttlst_spectacle-apparences-la-defense-samedi-22-septembre-2012_news" target="_blank">« Apparences », l’édition 2012</a> conçue par Gil
Chérel et réalisée par <a href="http://www.system-event.com/" target="_blank">System Event</a>, avait inauguré une tendance nouvelle dans
les shows multimédia (cf. <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/09/system-event-donne-un-coup-de-jeune-au.html" target="_blank">Le coup de jeune du "Son & Lumières"</a>). La Défense tient désormais deux belles références.
Espérons que les futurs travaux de la Grande Arche ne ralentissent pas la
démarche créatrice engagée par Defacto.</div>
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<br /></div>
Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-76701501852786984622012-12-05T23:05:00.001+01:002012-12-05T23:08:32.496+01:00Une conférence pour le Développement des opérateurs Event & Meeting <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<a href="http://www.green-evenements.com/evenements/developpement-event-et-meeting/" target="_blank"><img border="0" height="113" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGLfaByE_l4wFKjuwOO9CUptmRIpMWziqTbVMxHabgrBpm6qE-YKHRS0F3rwrcr4NDibGBr6klZo0XUlEufm-SXd7wljauh53rRUbBjERjcsgo3xXfVAb0gkn00WtQCMjTPqumdYEBf59q/s400/conference_event_meeting_0.jpg" width="400" /></a><br />
<br />
Avec 4 autres consultants experts, spécialistes du développement et du marché Event & Meeting, nous avons décidé d’organiser la 1e Conférence pour le Développement des opérateurs de ce secteur. Le marché Event & Meeting est en profonde mutation. Tous les acteurs, des patrons d’agences aux dirigeants de prestataires, en passant par les gestionnaires de site ou responsables de destination, se posent de multiples questions sur leurs activités, leur croissance, leur organisation, leurs objectifs, leur stratégie…<br />
<br />
<a name='more'></a><br />
<b>5 consultants experts et indépendants, connaissant parfaitement ce marché </b><br />
Forts de constat, experts de ce marché, nous lançons donc la <a href="http://www.green-evenements.com/evenements/developpement-event-et-meeting/" target="_blank">1ère édition de la Conférence pour le Développement des acteurs Event & Meeting</a> qui se tiendra le jeudi 20 décembre 2012 de 8h30 à 10h30 au Cercle d'Affaires Kadrance (48, avenue La Bruyère, Paris 9e). Notre objectif est de promouvoir des solutions stratégiques et opérationnelles qui visent à améliorer la performance des opérateurs Event & Meeting. Chacun d’entre nous connaît parfaitement ce marché, pour y avoir travaillé ou pour l’avoir observé pendant plusieurs années, et a développé une méthodologie et une expérience spécifiques au secteur.<br />
<br />
<b>Un accompagnement professionnel et des solutions pragmatiques </b><br />
En plus de sa connaissance pointue du secteur, chacun d’entre nous, créateur de cabinets indépendants qui travaillent en réseau, maîtrise des techniques du développement structurel des entreprises :<br />
• Tanguy Mary, fondateur de <a href="http://www.deuxiemechapitre.fr/" target="_blank">Deuxième Chapitre</a> et spécialiste de la relation manager/managés et du leadership,<br />
• Béatrice Eastham qui a créé <a href="http://www.green-evenements.com/" target="_blank">Green Événements</a>, experte de l’éco-responsabilisation des produits et des services,<br />
• Jean-Michel Louis, créateur de <a href="http://www.linkedin.com/profile/view?id=74635882&locale=fr_FR&trk=tyah" target="_blank">Zefrenchteuf</a> qui accompagne les entreprises Event sur les marchés étrangers,<br />
• Dimitri Dorès qui dirige <a href="http://www.linpid.fr/" target="_blank">Linpid Conseil</a>, spécialiste de la relation avec les directions achats,<br />
• enfin Lionel Malard, votre serviteur, fondateur d’<a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/p/arthemuse-consulting.html" target="_blank">Arthémuse</a>, qui accompagne les opérateurs Event & Meeting dans leurs problématiques de business développement.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6_yWSnz3q7Y1N5blZsifmnY4fiqnEzo2CqK7If5vL9A5L-8j-x9oheCUyjxjycEgS5zM6WHZXlucYl7ni88Zd0fJuE3LzYXJJOsLRfcGowIfpMOI-PmI4SxZDmVF7-We8wZw-TaV33lsi/s1600/portraits_events_meeting_0.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="132" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6_yWSnz3q7Y1N5blZsifmnY4fiqnEzo2CqK7If5vL9A5L-8j-x9oheCUyjxjycEgS5zM6WHZXlucYl7ni88Zd0fJuE3LzYXJJOsLRfcGowIfpMOI-PmI4SxZDmVF7-We8wZw-TaV33lsi/s400/portraits_events_meeting_0.png" width="400" /></a></div>
<br />
Depuis plusieurs années, nous accompagnons des opérateurs sur différentes problématiques stratégiques ou opérationnelles. Parce que nous connaissons ce marché, nos offres d’accompagnement et de conseil créent de la valeur. Elles sont une alternative au grand cabinet de conseil et de formation. Chacun intervient de manière réactive et nos services sont abordables pour les TPE et PME.
Venez nous rencontrer le 20 décembre prochain !<br />
<br />
L’entrée est gratuite, mais sur uniquement sur inscription préalable.<br />
Programme, interventions, inscriptions et accès <a href="http://www.green-evenements.com/evenements/developpement-event-et-meeting/" target="_blank">ICI</a>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-91552588666262207472012-10-01T13:55:00.001+02:002012-10-03T20:07:32.283+02:00« L'événementiel, une niche pour riches »<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
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<span class="Apple-style-span" style="color: #262626; font-family: Nobile;"><span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Times;">Je mène actuellement une mission auprès d'<a href="http://www.effikas.fr/"><span style="color: #822425; text-decoration: none; text-underline: none;">Effikas</span></a>, une agence de communication
multimodale. Passés par les plus grandes agences événementielles, grands
professionnels du média événement, Philippe Graziani et Pierre-André Lhomme,
les dirigeants fondateurs (de gauche à droite sur la photo), nous livrent
ci-après une opinion sans concession sur la communication par l'événement, non
dénuée de vérité. Publiée par Influencia.net, cette tribune, je l'espère,
suscitera auprès des professionnels de la communication et de l'événement réactions
et/ou remises en questions... Dans tous les cas, leurs réflexions naissent des
problématiques qu'ils rencontrent au quotidien chez leurs clients, des grands comptes
qui, à coup sûr, remettent en cause le ROI de l'événementiel... J'attire par
ailleurs votre attention sur la vidéo « <a href="http://vimeo.com/50520154"><span style="color: #822425; text-decoration: none; text-underline: none;">De l'usage des écrans</span></a> » qu'Effikas
a conçue et réalisée, une excellente synthèse de l'évolution des comportements
et qui vient appuyer leur tribune...</span></span></div>
<span class="Apple-style-span" style="color: #262626; font-family: Nobile;">
</span><br />
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
</div>
<span class="Apple-style-span" style="color: #262626; font-family: Nobile;">
</span>
<br />
<a name='more'></a><span class="Apple-style-span" style="color: #262626; font-family: Nobile;"><br /><br />
</span><br />
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span class="Apple-style-span" style="color: #262626; font-family: Nobile;"><b><span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Times;">« La communication par l'événement, une niche pour
riches</span></b><span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Times;"> »</span><span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Nobile;"><o:p></o:p></span></span></div>
<span class="Apple-style-span" style="color: #262626; font-family: Nobile;">
</span>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span class="Apple-style-span" style="color: #262626; font-family: Nobile;"><b><span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Times;">par Philippe Graziani et Pierre-André Lhomme, dirigeants
fondateurs d'Effikas</span></b><span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Nobile;"><o:p></o:p></span></span></div>
<span class="Apple-style-span" style="color: #262626; font-family: Nobile;">
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Times;">Depuis quelques années, les fondements de la communication
événementielle sont ébranlés. Lorsqu'ils ne sont pas considérés carrément
comme « honteux » par les publics visés, les budgets des événements se répartissent,
dans le meilleur des cas, à 30% sur le message et son contenu, et à 70% pour la
logistique. Les donneurs d’ordres perdent la foi... Et ce même événement qui,
il y a 5 ans, était perçu comme un instant privilégié dans la vie de
l'entreprise devient aujourd'hui un pensum sans intérêt pour la cible.</span><span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Nobile;"><o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Times;">Alors, comment séduire et motiver un public interne réuni
pour un séminaire ou une convention quand on lui dit que la prochaine
destination sera un club de vacances en Normandie et non plus un palace à
Cancun ?<o:p></o:p></span><br />
<span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Times;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Times;">Lire la suite sur le site <a href="http://www.influencia.net/uk/news/business-loves-technology,communication-par-evenement-niche-pour-riches,112,2891.html"><span style="color: #822425; text-decoration: none; text-underline: none;">www.influencia.net</span></a></span><span lang="FR" style="color: #262626; font-family: Nobile; mso-bidi-font-family: Nobile;"><o:p></o:p></span></div>
<!--EndFragment--></span></div>
</div>
<div style="margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; text-align: left;">
</div>
Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-61460043027336151502012-09-26T09:44:00.001+02:002012-10-01T09:52:08.238+02:00Pour que l’événement « enlève le bas »…<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2nobO1ffzaM-9EIYWTLI7h5i28qPIuWeZoEJxB6fgS9n9edS75VclDxG8KMEsLem44HRGseFiXCX8SlsFtB4SqyaguoREQRgUCVX32xd205yFZhQvQFDJd7mHGvUbRW73mZur7EE3eAv4/s1600/demain-j-enleve-le-haut-1-580x654.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2nobO1ffzaM-9EIYWTLI7h5i28qPIuWeZoEJxB6fgS9n9edS75VclDxG8KMEsLem44HRGseFiXCX8SlsFtB4SqyaguoREQRgUCVX32xd205yFZhQvQFDJd7mHGvUbRW73mZur7EE3eAv4/s320/demain-j-enleve-le-haut-1-580x654.jpg" width="283" /></a></div>
<div>
<span class="Apple-style-span" style="color: #333333; font-family: inherit; line-height: 20px;">Qui se souvient de Myriam Szabo ? Il y a 31 ans exactement, les formes de cette charmante jeune femme apparaissaient sur les panneaux 4 x 3 d’Avenir, « l’afficheur qui tient ses promesses ». Le slogan est resté dans toutes les mémoires des communicants comme du grand public : « Le 2 septembre, j’enlève le haut », puis « Le 4 septembre, j’enlève le bas »… Et le marché de l’affichage fut relancé. Le média « événement » a aujourd’hui besoin d’une action d’éclat dont on se souviendra dans une génération...</span></div>
<div>
<span class="Apple-style-span" style="color: #333333; font-family: inherit; line-height: 20px;"></span><br />
<a name='more'></a><span class="Apple-style-span" style="color: #333333; font-family: inherit; line-height: 20px;">Lire la suite sur le site de <a href="http://www.meet-in.fr/pour-que-l-evenement-enleve-le-bas,139.html" target="_blank">Meet>In</a></span></div>
Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-57040132113804624542012-09-17T19:46:00.000+02:002012-09-17T20:35:38.662+02:00Le coup de jeune du "Son et Lumières"<!--[if gte mso 9]><xml>
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-izlSVKkg_ApnaEkYQFdl1IfAGc9kR1v_MLRMdqD8gS6jKiHY0xd-uw5GOWw1bjskjDTUSfAfs4rGkxAx7OvyvYk6OwJa1uj3gAHMlGzHXbSbb5pqvcmCal-jHv1KfQ3rhPanP-A1pugM/s1600/affiche-spectacle-apparences-2012.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-izlSVKkg_ApnaEkYQFdl1IfAGc9kR1v_MLRMdqD8gS6jKiHY0xd-uw5GOWw1bjskjDTUSfAfs4rGkxAx7OvyvYk6OwJa1uj3gAHMlGzHXbSbb5pqvcmCal-jHv1KfQ3rhPanP-A1pugM/s320/affiche-spectacle-apparences-2012.jpg" width="232" /></a></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Il y a aura un avant et un après « Apparences »,
rien de moins… Samedi 22 septembre, sur le parvis de La Défense, se joue devant
plus de 30000 personnes un show multimédia et pyrotechnique gratuit conçu par
<a href="http://www.system-event.com/article.php3?id_article=23" target="_blank">Gil Chérel</a>, dirigé artistiquement par Patrick Brault et produit par <a href="http://www.system-event.com/" target="_blank">System Event</a> (<a href="http://youtu.be/oTAXd3ls1e0" target="_blank">voir les premières images</a> en avant première). L’initiative en revient à <a href="http://www.ladefense.fr/" target="_blank">Defacto</a>,
l’établissement public de gestion du célèbre quartier d’affaires en charge de
sa promotion et de son animation qui, après appel d’offres, a choisi System Event.</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Le supplément d’âme
de l’organisateur d’événements <o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">« Apparences » marque une (r)évolution dans la
production de spectacles urbains, type « son et lumières », initiés
pas les collectivités territoriales. </span></div>
<a name='more'></a><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Sa réalisation a été confiée à System Event,
dirigée par Gil Chérel, une société de création et de gestion d’événements.
Traditionnellement, la production de ce type de spectacle est déléguée à un
prestataire spécialisé, audiovisuel ou pyrotechnique. Avec le temps, ces
prestataires ont su élargir leur palette à d’autres techniques ou technologies.
Mais leur spécialité donne toujours une forte connotation au show. Et on les
choisit d’ailleurs pour cela. En choisissant System Event et Gil Chérel,
Defacto n’a pas fait le choix d’une technique ou d’une technologie, mais d’un
spectacle. Et je crois que ça change tout. Sans vouloir dévaloriser les
prestataires, je pense qu’une collectivité qui choisit un organisateur
d’événements attend une dimension supplémentaire. C’est aussi l’expérience et
la connaissance de la communication à destination des publics qu’ont acquises
les agences et sociétés événementielles qui font la différence. Elles
maîtrisent parfaitement la coordination d’événements complexes et font toujours
le choix des meilleures technologies, des meilleurs professionnels, mais au
service d’une histoire qui a du sens. Pour « Apparences », ce sont
les œuvres d’art et d’architecture distillées dans le quartier qui sont
invitées à une danse audiovisuelle onirique…</span><br />
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Vers un renouveau qui
dépasse la technique<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">« Apparences » reste un formidable terrain
d’expression pour les prestataires. Le show d’environ 50 minutes mixe plusieurs
techniques et technologies, parmi les plus modernes : en plus des
traditionnels jeux de lumière et bande son, on trouve une projection vidéo en
mapping 3D sur les 7500 m2 de la Grande Arche (inédit !), un spectacle
pyrotechnique et un show laser. À coup sûr, la Grande Arche constitue l’un des
écrans urbains les plus grands jamais utilisé en France dans un spectacle
gratuit. Et grâce à cela, le spectacle devient un événement attendu… Patrick
Brault pour la direction artistique, <a href="http://www.mvision.fr/" target="_blank">Mvision</a> pour la vidéoprojection, <a href="http://www.potar-hurlant.com/home.htm" target="_blank">Potar Hurlant</a> pour le son, <a href="http://www.pandora-pyrotechnie.com/" target="_blank">Pandora</a> pour la pyrotechnie, <a href="http://www.magnum.fr/" target="_blank">Magnum</a> pour l’éclairage,
<a href="http://www.subjectil.com/" target="_blank">GiO-Subjectil</a> pour la création des images et <a href="http://www.laseremotion.fr/Parcours/Parcours.html" target="_blank">Laser Émotion</a> pour le show laser
sont les principaux prestataires réunis par System Event pour assurer le
spectacle. Beaucoup n’étaient pas forcément attendus sur ce type de
manifestions. Mais c’est justement ce renouveau des hommes, du contenu, des
techniques et des méthodes qu’a certainement appelé de ses vœux Defacto pour
satisfaire le grand public, fidèle à ce rendez-vous qui existe depuis plusieurs
années.</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">« Apparences » sera observée. Mais une nouvelle ère s’ouvre, j’espère, pour ce qu’on appelle
traditionnellement les « sons et lumières » très appréciés du public (il
conviendra de trouver une terminologie plus actuelle…). Les sociétés
d’organisation événementielle apporteront leur capacité à raconter une belle
histoire originale au(x) public(s) et à aller chercher et fédérer les meilleurs professionnels pour la
mettre en scène. Les collectivités territoriales innovantes, qui cherchent à
renouveler le sacrosaint feu d’artifices du 14 juillet ou la fête de la ville ou à
mettre en valeur différemment leur patrimoine, peuvent élargir le spectre de
leurs partenaires. Les agences événementielles, voire d’autres types de
producteurs ont, quant à eux, un nouveau marché qui s’ouvre. </span></div>
<!--EndFragment-->Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-44469278679505819052012-09-13T10:33:00.001+02:002012-09-13T10:35:33.243+02:00Baromètre 2012 ANAé-OpinionWay : une étude pour rien<!--[if gte mso 9]><xml>
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<br />
<div class="separator" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;">
<img border="0" height="98" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiPUkUkf2D7pUH8daOj7z7XPMuue_K3TchhEwbEtFlj0lzD_TZcosALwTYyJVjx1hampjdGW_jtPt7Hm7_7FzooDCNzzAe7HDBFZZzfE354rUZ62YQipEbmIT01s8yv4CPYxBbtYod49hpz/s200/ANAe%CC%81_Barome%CC%80tre_Une.jpg" width="200" /></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">L’ANAé (Association des agences de communication
événementielle) a demandé à l’institut OpinionWay d’interroger des
décisionnaires en événementiel, tirés du fichier des annonceurs
OpinionWay-Ballester, sur </span>« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’évolution
des tendances de la communication événementielle</i> ». Entre le 13 et le
27 juin, 150 personnes, dont 22 appartiennent aux 100 premiers annonceurs média
français, ont donc répondu en ligne à un questionnaire. Ce mercredi 12
septembre, l’ANAé rendait compte des résultats. Vous trouverez la totalité de<a href="http://fr.slideshare.net/ObservateurEvent/baromtre-anaopinionway-de-la-communication-vnementielle12092012" target="_blank"> l'étude ici</a>.</div>
<div class="MsoNormal">
<br />
<a name='more'></a><br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Rien de nouveau... Confirmation d'un environnement instable</span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Autant le dire tout de suite, l’étude n’apporte rien de
nouveau. D’abord, elle ne deviendra un baromètre que si elle est rééditée
régulièrement. Et l’ANAé n’a pas donné d’information précise sur la suite. Je
pense en outre qu’elle ne sert à rien. Contrairement à ce qu’annonce l’ANAé, ce
qui est en fait un sondage ne nous renseigne pas sur «<i> l’évolution des
tendances </i>». Il nous livre à peine un état des lieux. Tout le monde sait
déjà depuis bien longtemps que l’événementiel est majoritairement lié à la
communication interne. On sait que les événements BtoC se développent. On sait
que la grande majorité des événements sont réalisés par des équipes internes
aux entreprises. On se doute que les restrictions budgétaires poussent les donneurs
d’ordres à trouver des solutions dans leurs propres équipes pour la mise mettre
en œuvre de leurs opérations. On sait que les événements ont une place plutôt
centrale dans la communication des organisations. On connaît l’intérêt des
entreprises à mesurer l’efficacité de leurs opérations et on se doute qu’elles
étudient les retombées d’une manière ou d’une autre. On connaît les principaux
critères d’efficacité d’un événement : cohérence du message, retombées
médias, satisfaction des publics visés, audience, notoriété… On sait que les
appels d’offres constituent le mode de sélection principal des agences et que
les contrats de référencements pluriannuels sont peu courants. On sait que la
confiance, le prix et le relationnel sont fondamentaux dans la relation
annonceur/agence… L’étude confirme une nième fois l’instabilité chronique de
l’environnement des agences.</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b>Une étude pour rassurer les agences</b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Alors à quoi bon réaliser une étude dont on connaît à
l’avance les résultats, y compris dans leurs grandes proportions ? Gérard
Denis, administrateur de l’ANAé et patron de Denis&Co l’a d’ailleurs avoué lors
de la présentation des résultats : « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nous ne sommes pas étonnés… </i>» L’ensemble des indicateurs,
comme ceux déjà produits en interne par l’ANAé, donne les mêmes conclusions. Et
depuis longtemps… Je pense donc que les agences ont besoin d’être rassurées sur
le fait que la perception des annonceurs est similaire à la leur. Au passage,
heureusement que l’appréciation du marché par les agences correspond à la
vision des annonceurs ! Je trouverais dramatique, pour les agences et
leurs offres, qu’il existât différence de vue !</span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">En quoi ce type d’étude va, peut ou doit infléchir la politique
et l’organisation de l’ANAé ? Généralement, on mène ce genre d’études pour
ajuster ses orientations. Là, les enjeux de l’ANAé restent les mêmes depuis au
moins 4 ans et le début d’un contexte économique très tendu et, au mieux, d’une
stagnation des budgets : comment faire pour que les entreprises
choisissent le média événement au détriment d’autres outils de la communication ?
Comment faire valoir la valeur ajoutée des agences en situation de crise et de
réduction des budgets ? Les études passent, les questions subsistent, les
plans d’action restent peu lisibles… Je n’oublie pas la complexité d’une vie
associative, des budgets et de la mobilisation bénévole des hommes qu’on
voudrait plus importants…</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b>Des questions sur la maturité du marché</b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">En toute honnêteté, je dois vous avouer qu’un chiffre me
laisse perplexe : seulement 8% des annonceurs interrogés estiment que le
ROI (retour sur investissement) est un critère d’efficacité d’une action
événementielle… Pas un mot sur cette donnée lors de la restitution de l’étude.
J’ai moi-même du mal à l’analyser : Question mal posée ? Manque de
maturité événementielle des répondants ? Je n’ose pas croire qu’il représente
la réalité, sinon il y a de quoi s’inquiéter sur les efforts consentis par
toute la filière pour professionnaliser le discours, les organisations, les
offres… Il est essentiel de creuser cette question. La croissance du média
« événement » passe non seulement par sa capacité à apporter des
solutions professionnelles à des problématiques de communication, de
management, etc. mais surtout à démontrer qu’il y a un réel et mesurable retour
sur investissement.</span></div>
<div class="MsoNormal">
Dernière interrogation : l’ANAé a passé sous silence
une partie de l’étude sur les perspectives événementielles des annonceurs. Elle
juge cette partie peu instructive au regard de l’évolution récente du contexte
économique depuis fin juin. Dont acte. Mais c’est justement là l’intérêt d’un
baromètre. Je pense que c’est en interrogeant régulièrement les annonceurs sur
leur moral, sur leurs objectifs, sur leurs prévisions à court et moyen terme
qu’on obtient les moyens d’ajuster ses objectifs, sa stratégie, son discours…</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Toute la filière événementielle, et les agences en
particulier, manque d’études, de baromètres, de sondages… sur lesquels elle
pourrait s’appuyer pour promouvoir son offre. Ce n’est pas avec ce
baromètre-qui-n’en-ai-pas-encore-un que les agences vont faire avancer leurs
enjeux.</span></div>
<!--EndFragment-->Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-50128802973744647952012-09-06T00:47:00.000+02:002012-09-06T08:50:53.247+02:00De l'annulation du Campus de l'Événement (2)<!--[if gte mso 9]><xml>
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<!--StartFragment-->
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFyCt8yZFnpA_UgqVMXRGkNAqOfJaxVZ0nc_CGQXgpr__redcBPvPhC72GccmDa6XpXXQSsf6dWM9fvcQy22XklayEI5xbL7AMe8nGb0O-t5kPEAzokuTRpz48D3D9k_OD9hWYdcRubIiU/s1600/serge-tapia-blog.png" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFyCt8yZFnpA_UgqVMXRGkNAqOfJaxVZ0nc_CGQXgpr__redcBPvPhC72GccmDa6XpXXQSsf6dWM9fvcQy22XklayEI5xbL7AMe8nGb0O-t5kPEAzokuTRpz48D3D9k_OD9hWYdcRubIiU/s200/serge-tapia-blog.png" width="132" /></span></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Serge Tapia, <br />président de l'AFO</span></td></tr>
</tbody></table>
Je devais donc intervenir lors du 1<sup>er</sup> Campus de
l’Événement, organisé par la surprenante AFO (Association française des
organisateurs d’événements). L’événement, qui aurait dû se dérouler les 11 et
12 septembre prochain, a été annulé. J’ai reçu, en guise d’information, un
mail, signé par le Conseil d’administration de l’association (à lire <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/09/de-lannulation-du-campus-de-levenement-1.html" target="_blank">ici</a>), puis un appel
téléphonique très cordiale de la chargée de coordination… Un peu court, malgré
tout !<br />
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Tout d’abord, la curiosité qui m’anime, cultivée par 15 ans
de journalisme, m’avait encouragé à proposer à l’AFO une intervention </span></div>
<a name='more'></a><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">lors de
ce campus : </span>« <i>L’organisateur d’événements inspiré(s)</i> » ou
comment, l’observateur que je suis analyse la fonction d’organisateur et son
évolution dans le temps. Je n’ai pas eu à insister pour faire partie du
programme. Une simple discussion téléphonique avec la coordinatrice de
l’association a suffi. Je m’attendais à être un peu plus dirigé, contraint,
intégré dans une logique. Mais j’étais simplement ravi d’y participer, de voir
enfin l’impact de l’AFO après un an d’existence, même si je percevais les
limites de l’événement, comme de l’association.<br />
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">L’AFO, dans son message de report, ne fait aucune autocritique.
Pourtant, il me semble qu’elle a accumulé plusieurs erreurs méthodologiques :</span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpFirst" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<!--[if !supportLists]--><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><!--[endif]--><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">une
erreur de calendrier :</b> les 18<sup>e</sup> Rencontres professionnelles
Réunir se déroulent les 12 et 13 septembre et leurs dates étaient connues
depuis 1 an. Il est évident que les organisateurs ont vite fait leur choix
entre un rendez-vous installé et légitime et une première, aussi innovante
soit-elle ;</span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpFirst" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpMiddle" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<!--[if !supportLists]--><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><!--[endif]--><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">une
erreur de contenu :</b> le campus n’avait pas de temps fort. Le thème,
creux, « Au centre des préoccupations des organisateurs
d’événements », n’avait pas grande signification… Le contenu n’était pas
immédiatement perceptible, les conférenciers, aussi brillants soient-ils, peu
connus. Pas de tête d’affiche, aucun témoignage concret d’organisateur ou de
grande entreprise leader et mûre en matière de communication événementielle… ;</span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpMiddle" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpLast" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<!--[if !supportLists]--><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><!--[endif]--><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">une
erreur de stratégie :</b> l’AFO n’a pas acquis la légitimité nécessaire pour
organiser ce type de rencontre, payante de surcroît. L’AFO n’a pas prouvé
qu’elle est un acteur incontournable du secteur. Depuis sa création, l’AFO n’a
pas produit de contenu (hormis un brief type pour les traiteurs…), n’a pas posé
une parole claire, n’a pas agi sur des thématiques métier ou marché, n’a pas
fait preuve de beaucoup de transparence... En planifiant son campus, l'association a mis la charrue avec les boeufs. Une association comme l’<a href="http://www.blogger.com/"><span id="goog_442083249"></span>ANAé<span id="goog_442083250"></span></a>
(Association des agences de communication événementielle) a attendu plus de 12
ans avant d’organiser ses premières Universités d’été. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Au-delà de ses erreurs, dont on apprend toujours, il y a des
questions qui concernent plus l’essence et la structure même de
l’association : </span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpFirst" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<!--[if !supportLists]--><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><!--[endif]--><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Peut-on
et doit-on fédérer TOUS les organisateurs ?</b> Quel est le point commun
entre un chef de projet junior de 25 ans en agence, un directeur de
communication de 50 ans dans une entreprise du CAC 40 , un chargé d'événement chez un traiteur et un responsable de production free-lance ? Ils sont tous
organisateurs certes, mais le lien entre eux est si ténu. Leurs
expériences, leurs compétences, leurs attentes, leurs besoins, leurs objectifs…
sont si différents ! La fonction d’organisateur est tellement diverse
qu’elle me semble tout simplement impossible à fédérer ! </span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpMiddle" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">En revanche, les organisateurs d’événements et de rencontres
professionnelles en entreprises ont, quant à eux, une légitimité à se fédérer.
Le <a href="http://www.clubevenement.com/" target="_blank">CETA</a>, le Club Événement et Tourisme d’Affaires en entreprise, possède un
excellent positionnement, mais son développement est, pour plein de raisons,
très lent. Les responsables projets, qui travaillent en agences ou en free pour
des agences, auraient des raisons de s’unir. Mais ce n’est pas forcément dans
la culture des 20-30 ans, qui en constituent la grande majorité. </span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpMiddle" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto;">
<br /></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpMiddle" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<!--[if !supportLists]--><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><!--[endif]--><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">La
fonction d’organisateur a-t-elle besoin d’être défendue ?</b> Admettons
qu’on réponde positivement à la question précédente. Si la défense des
organisateurs est un des objectifs de l’AFO, s’appuie-t-il alors sur une
réalité ? Je n’ai, pour ma part, jamais entendu un organisateur demandé à
être défendu… La nécessité de partager des expériences, des best practices, de
bonnes idées, des prestataires efficaces, ça oui ! Je n’ai jamais senti
non plus un manque de reconnaissance, du moins pour les décisionnaires en
entreprise…</span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpMiddle" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto;">
<br /></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpLast" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<!--[if !supportLists]--><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><!--[endif]--><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Serge
Tapia est-il le meilleur profil pour présider aux destinées de l’AFO ?</b>
<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Lorsqu’il était membre de l’ANAé,
Serge Tapia dénotait, à coup sûr. Son aisance orale, son leadership, sa
capacité de séduction, ses chemises et ses lunettes bariolées…, éprouvés au
Club Med, ont toujours été en contradiction avec l’objectif des patrons d’agences
événementielles qui cherchent à promouvoir une image de consultant très "Big
Four" plutôt que de GO… Puis, après T Com T, la création d’<a href="http://www.auservicedelevenement.fr/" target="_blank">Au Service de l’Événement</a> a été jugée incompatible par l’ANAé avec son adhésion. Serge
Tapia est comme son positionnement professionnel : atypique. Je ne suis
pas convaincu que le profil d’un homme qui préside aux destinées d’une
association, a fortiori en phase de lancement, peut se permettre de prêter à débat et de susciter
des questions. Ce rôle doit revenir à une personne plus consensuelle, dont la
trajectoire professionnelle et associative est sans aspérité et conforme à
l’objet de la structure. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoListParagraph" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<!--[if !supportLists]--><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><!--[endif]--><b style="mso-bidi-font-weight: normal;">N’y a-t-il
pas une autre communication possible ?</b> L’AFO évoque 300 adhérents et
se fixe un objectif de 2000 à court terme… Peut-on y croire ? Comme patron
du magazine <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Événementiel</i> pendant 6
ans, entre 2000 et 2005, alors même que le titre avait déjà 10 ans d'existence et fait ses
preuves en termes de contenus, j’ai pu apprécier l’énergie qu’il faut déployer
pour identifier, convaincre, recruter et réunir les décisionnaires en
événement. Les doutes sur les adhérents de l’AFO sont permis. Depuis un an, à
chaque fois que je rencontre un organisateur, je lui pose la question de son
adhésion. Au mieux, on me répond non, mais la plupart du temps, on me demande
ce qu’est l’AFO… Je me pose d’autant plus de questions que l’association a
décidé de ne pas communiquer sur ses membres. Toutes les associations
professionnelles (comme DCF-Directeurs commerciaux de France,
l’Adetem-Association nationale des professionnels du marketing…) mettent au
moins en avant les adhérents qui s’impliquent, comme pour prouver leur
représentativité. Qui sont la cinquantaine de personnes dont l’AFO dit qu’elles
participent à son fonctionnement ? Sont-ils vraiment emblématiques de la
fonction d’organisateur d’événements ? </span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Le mérite de l’AFO est de secouer les associations
professionnelles du secteur qui, il faut le dire, ont sombré depuis quelques
années dans une léthargie coupable. Mais son positionnement, son management et sa
communication ne convainquent pas. L’annulation du Campus de l’Événement n’améliore
pas l’image de l’AFO. Et cette manière de se considérer comme la victime d’un
complot associant les agences, la presse et les salons du secteur est puérile
et inconsistante. L’AFO a déjà besoin d’une remise en question profonde et, à
titre personnel, je suis prêt à apporter ma pierre à l’édifice. Ce post en est
un premier témoignage. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">L’événement, et plus largement la rencontre professionnelle,
a besoin d’être promu comme une solution à des problématiques managériales, de
communication, commerciales, marketing, une solution à l’accompagnement au
changement, une solution à de nouvelles formes relationnelles manager/managés… Il
y a là, dans ce rôle de promoteur, une place à prendre et un leadership à
assurer.</span></div>
<!--EndFragment-->Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-18651548012913159572012-09-04T17:22:00.000+02:002012-09-04T17:23:33.283+02:00De l'annulation du Campus de l'Événement (1)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhRd4Z8IWWp8bMKCjRej_vv_7uj9d105Mgq2yhjNlQkiDs9otUSt4kutBHbfsbIPUlexJP7gZQWUYTzMNbxYySCUvLuIbw49jvHqZ0Fg_RVUzknvfLlsTbhZuZAmKlPCv9AXCOfR7ZyeBSw/s1600/logo-AFO-VECT-AVEC-BD.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="130" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhRd4Z8IWWp8bMKCjRej_vv_7uj9d105Mgq2yhjNlQkiDs9otUSt4kutBHbfsbIPUlexJP7gZQWUYTzMNbxYySCUvLuIbw49jvHqZ0Fg_RVUzknvfLlsTbhZuZAmKlPCv9AXCOfR7ZyeBSw/s200/logo-AFO-VECT-AVEC-BD.jpg" width="200" /></a></div>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Je devais intervenir au 1er Campus de l'Événement, organisé par la très controversée AFO (Association française des organisateurs d'événements). Mais voilà que je reçois, il y a quelques minutes, un mail qu'il conviendra de commenter. Ce sera pour un prochain post...</span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"></span><br />
<a name='more'></a><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">"Vous nous avez fait l’honneur d’accepter notre invitation à participer à notre 1<sup>er</sup> Campus et nous vous en remercions. Notre jeune association, l’AFO (Association Française des Organisateurs d’événements), est en avance sur son époque et sa mission première « d’ être représentatifs pour la défense du métier d’organisateurs d’événements » est mal assimilée par un trop grand nombre d’esprits encore peu alertes aux mutations du marché.</span><br />
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><br /></span>
<br />
<div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Son positionnement, novateur, bousculant les idées reçues est réel et pertinent à en devenir gênant pour <span style="color: black;">les organisations d'agences, nous ayant perçu, à tord, comme concurrentes et qui demeurent sur des bases protectionnistes et nombrilistes, n’hésitant pas par tous moyens à dénigrer l’AFO, qui a ainsi très vite fait face</span> à un boycott de la presse et des salons professionnels. Certes, quelques supports ont su résister aux pressions défendant ainsi une liberté de la presse qui semble difficile à acquérir dans le monde événementiel : chacun se reconnaîtra et prendra ses responsabilités. Pourtant, la vocation de l’AFO est d’être en prise avec un secteur en pleine refonte, avec des demandes en perpétuelles évolutions, bref avec une société qui bouge et cherche à se réinventer. Un secteur dans lequel l’organisateur appartient a un spectre large formant une communauté riche et hétéroclite.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">La vision de l’AFO est trop pionnière, elle mérite plus d’explications, plus de relais en cette rentrée 2012 pour que les conditions du succès du 1er Campus de l’Evénement soient pleinement réunies.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">De ce fait, nous prenons la décision de reporter notre événement à 2013, afin de prendre le temps de mieux préparer les mentalités à notre projet et de livrer notre 1<sup>er</sup> Campus de l’événement de la meilleure facture possible.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Nous en sommes par avance meurtris, désolés et vous remercions pour votre implication et votre participation à cette belle aventure qui, nous en restons convaincus, trouvera sa place comme un événement institutionnel, récurrent et fédérateur des organisateurs d’événements.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Une décision délicate et sage, une décision complexe mais incontournable.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Nous remercions nos partenaires qui soutiennent l’AFO et ce Campus, l’ECS, l'agence ECS, Amiando, le magazine <i>L'Événementiel</i>, <i>Déplacements Pros</i>, Calixir, Agenda Media, Axelliance, Accès Privilèges, Équinoxe Avocats, Réseau LEW, Evénementor… et l’ensemble des intervenants de très haute qualité qui avaient répondu présents à notre invitation.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Construire prend du temps, être en avance sur son temps fait perdre du temps… Mais le temps viendra !</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Nous restons à votre entière écoute."</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Le conseil d'administration de l’AFO</span></div>
</div>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><br /></span>
<br />
<div>
<div>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Association Française des Organisateurs d'événements</span></div>
<div>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">12-14 rue de l'église - 75015 Paris</span></div>
<div>
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">06 98 86 75 15</span></div>
<div>
<a href="mailto:info@afo-evenements.fr"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">info@afo-evenements.fr</span></a></div>
</div>
Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-61640889092880577972012-07-13T13:41:00.002+02:002012-07-13T13:41:34.292+02:005e Universités d’été de l’ANAé : préparer l’avenir<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNI2oFhcne53w3oNnLaSdojYrPr5t9_2Qr9DXPTxSUem0DgBJWV38CJE626WSQsW-Ju44gK-w3YdmMWUB27tlpM2uSyrfCR-Ejk5q-oueosQ5DgOVMcdjO0RDtSWA0XHZmAd9CLga028_Z/s1600/images.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="169" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNI2oFhcne53w3oNnLaSdojYrPr5t9_2Qr9DXPTxSUem0DgBJWV38CJE626WSQsW-Ju44gK-w3YdmMWUB27tlpM2uSyrfCR-Ejk5q-oueosQ5DgOVMcdjO0RDtSWA0XHZmAd9CLga028_Z/s200/images.jpeg" width="200" /></a></div>
La 5<sup>e</sup> édition des Universités d’été de l’ANAé
(Association des agences de communication événementielle), qui s’est déroulée
du 9 au 11 juillet à Marseille, s’est terminée avec la satisfaction d’un nombre
record de présents, d’un programme attractif, d’une participation active, d’un
nouveau format plus interactif et d’une production de contenus dont la synthèse
s’annonce passionnante (voir <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/07/apres-les-5e-universites-dete-de-lanae.html" target="_blank">ici</a>). Modestement, je me permets de lancer 6
pistes de réflexion pour préparer l’avenir de ce type de rendez-vous :<br />
<a name='more'></a><br />
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">1. Les contenus
produits doivent être rapidement visibles</b>, sous une forme à définir, et
servir de bases à d’autres réflexions. Aussi surpris fussent-ils par le forme, les
participants, dans leur grande majorité, ont joué le jeu de l’interactivité. Il
est important qu’ils puissent saisir l’importance de leur travail sur l’utilité
de l’événement et sur la manière de créer et de maintenir la confiance. Un
compte-rendu partagé doit servir la réflexion de l’ensemble de la communauté et
la promotion du média événement ; </div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">2. La représentation
des agences aux Universités n’est pas optimale </b>: comment rendre le
rendez-vous assez attractif pour que les agences absentes prennent un peu de
leur temps pour participer à la réflexion ? Les agences n’étaient pas
majoritaires, loin s’en faut. Dans beaucoup de secteurs économiques, ce sont
souvent les leaders qui mènent la réflexion, qui « tirent » le marché
vers le haut. Beaucoup d’agences et d’associés/fondateurs manquaient à l’appel,
parmi les « historiques », parmi les plus connus, parmi les plus
reconnus. La division des associations (ANAé vs AACC Événementiel), la fronde
de quelques talentueux réfractaires à toute association et l’absence regrettable
de quelques structures clés laissent un goût amer à l’heure de tirer les bilans
et de préparer l’avenir, même s’il faut souligner et féliciter encore une fois
le travail des présents ;</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">3. L’absence des
donneurs d’ordres</b> : les annonceurs étaient trop rares, noyés dans la masse,
presque invisibles. Il y a de multiples raisons à leur renoncement. Mais les associations professionnelles, UDA (Union des
annonceurs) et CDA (Club des annonceurs) en tête, ne se mobilisent pas. Facile
d’associer son nom à l’événement avec un logo sur l’affiche, plus difficile
d’être un vrai promoteur du rendez-vous et générer des inscriptions. C’est pour
moi l’un des signes d’une piètre considération de l’événement comme outil de
management et de communication. Il y a un énorme travail de pédagogie à
effectuer par les opérateurs ;</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">4. La présence
remarquée des prestataires et des gestionnaires de sites </b>: Leurs
interventions dans les temps de réflexion et de production de contenu prouvent
à l’envi leur professionnalisation. Ils étaient aussi les plus nombreux. Je
trouve même qu’il y a parfois un certain manque de considération, voire une
certaine condescendance à leur égard de la part des donneurs d’ordres comme des
agences… J’exagère (sans doute), mais leur place est à revoir dans ce type de
rencontres. Il y a parmi eux de magnifiques aventures humaines et industrielles,
des réflexions stratégiques poussées qui servent le marché dans son entier. Et
la visibilité du média événement passe aussi par leur réussite ;</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">5. L’ANAé ne peut
porter seule la réflexion sur le média événement.</b> D’abord, parce que les
événements impliquant une agence ne représentent qu’environ un tiers du marché.
Les Universités d’été devraient réunir l’ensemble des acteurs majeurs de la
filière, non pas seulement comme partenaires, mais bien comme coorganisateurs.
Tendre vers des Universités d’été de la filière événementielle doit être un
objectif à moyen terme. Le fait, qu’à trois jours d’intervalle, se déroulent le
Congrès FSCEF (Foires, salons, congrès et événements de France) et les Universités
d’été de l’ANAé, est une ineptie, alors même que les deux structures sont
liées. Je suis persuadé que le thème de cette année « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Inventivité, Confiance, Utilité : quand l’événement s’engage </i>»
aurait pu être partagé par l’ensemble des acteurs du secteur : donneurs
d’ordres, agences, prestataires, lieux, destinations, free-lances… Les
associations et les fédérations professionnelles se sont bien associées pour
créer le collectif Éco-Événement, elles peuvent très bien joindre leurs efforts
pour monter un vrai rendez-vous de réflexion du secteur ; </div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">6. Les agences ont
besoin de parler entre elles de leur métier et de leur marché </b>: Il n’y
a aucun rendez-vous de contenu qui regroupe uniquement les agences. Pourtant,
les discussions pendant les temps de convivialité montrent la nécessité d’un
dialogue, d’une réflexion et d’un partage internes au métier. Les agences ont à
défendre leur valeur ajoutée, dans une période mouvementée, indépendamment
d’une rencontre avec les autres acteurs de la filière. Il y aurait environ 420
agences événementielles basées en France (étude Bedouk-ANAé 2012, structures
créées avant le 1<sup>er</sup> janvier 2009 avec un CA 2010 supérieur à 300
k€). 64 sont membres l’ANAé, 11 de la délégation événementielle de l’AACC. Quelles
peuvent être les bases d’un rassemblement des deux structures qui les
représentent et d’un développement de l’attractivité d’une démarche métier ?</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
Force est de reconnaître que l’ANAé, avec ses Universités
d’été, est une force de proposition leader et reconnue. Je pense que, pour un
rendez-vous comme les Universités d’été de l’événement, elle a besoin de s’ouvrir
davantage aux autres structures représentatives de la filière et ces dernières
doivent saisir l’opportunité d’un vrai rendez-vous collaboratif. Dans un autre
temps, les agences ont besoin de se retrouver entre elles, de réfléchir sur
elles-mêmes, sur leur positionnement, pour travailler encore et toujours sur leur
valeur ajoutée.</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-83991183521052640952012-07-12T23:18:00.001+02:002012-07-12T23:19:09.472+02:005e Universités d’été de l’ANAé : retour sur le contenu<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh45HZR3qQQEU__mU17n6jpgZITXIu7s2rYD9ATROm2cWf92HHxfJyvq6F6vSZg6hHREmWHvEwTf6dVNOYuI17nbzlNiO4DWbKfL5fBoH8t9GnzhRUMVT_wLtRt6wd7e2nb-EiYkMpasvM9/s1600/36.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="112" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh45HZR3qQQEU__mU17n6jpgZITXIu7s2rYD9ATROm2cWf92HHxfJyvq6F6vSZg6hHREmWHvEwTf6dVNOYuI17nbzlNiO4DWbKfL5fBoH8t9GnzhRUMVT_wLtRt6wd7e2nb-EiYkMpasvM9/s320/36.jpg" width="320" /></a></div>
<div class="MsoNormal">
Au Parc Chanot de Marseille, 240 professionnels de
l’événement se sont réunis à l’invitation de l’ANAé (Association nationale des
agences événementielles), du 9 au 11 juillet, pour réfléchir sur le thème
« <i>Inventivité, Confiance, Utilité : quand l’événement
s’engage </i>». Depuis déjà quelques éditions, l’ANAé muscle le contenu de ses
Universités d’été. Et 2012 restera, en tous cas pour moi, comme un très bon
cru. </div>
<a name='more'></a>Ce travail sur le fond, s’il est poursuivi, permettra à terme à cet
événement de devenir un rendez-vous attractif et incontournable de la filière
événementielle. En dehors des temps de convivialité et de réseautage, je me
permets de revenir sur les quatre temps du programme.<br />
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Formidable Luc de
Brabandère !<o:p></o:p></b></div>
<div class="MsoNormal">
La première conférence sur « <i>Comment générer de l’inventivité ?</i> »
par Luc de Brabandère, directeur associé de BCG (Boston Consulting Group),
lançait on ne peut mieux la réflexion. Mathématicien et philosophe, cet érudit
de 64 ans affirme qu’il est impossible de penser sans cadre prédéfini. Être
créatif, pour lui, c’est créer des cadres ou des structures mentales
différentes qui permettent aux idées nouvelles d’émerger. J’espère que cette
conférence pourra être diffusée prochainement sur le web, tellement sa
réflexion, pertinente et professionnelle, apporte à la fois du plaisir et une
information éclairante pour mieux travailler. </div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Pas d’agence
événementielle dans les présidentielles<o:p></o:p></b></div>
<div class="MsoNormal">
La deuxième table ronde m’a laissé un peu sur ma faim. Avec
pour thème « <i>Le retour en force de l’événement au cœur des Présidentielles
2012</i> », les représentants des équipes de communication des candidats (pour
l’UMP et pour le Front de Gauche) n’étaient jamais très loin du débat
politique, alors que l’auditoire attendait, je pense, d’en savoir un peu plus
sur la place de l’événement dans la stratégie de communication des candidats,
sur le rôle des communicants extérieurs et l’absence des agences conseil en
communication événementielle dans la campagne... Personne ne s’offusquait, par
ailleurs, que la grande majorité des images de ces meetings étaient produites
par les partis politiques eux-mêmes et fournies aux chaînes, en particulier
d’information continue. Seule Claire Sécail, chargée de recherche au laboratoire
Communication et Politique du CNRS, a intelligemment mis en perspective ce retour
au premier plan du meeting et du grand retour des meetings de rue, qui auraient
accueilli en cumulé, d’après un sondage Opinion Way, 4% des Français. Il faut
lire son article dans Le Monde du 2 mai 2012 « Une campagne tout en
meetings », qu’elle a co-signé avec Pascale Mansier (pdf <a href="http://www.lcp.cnrs.fr/IMG/pdf/LeMonde_Secail_Mansier.pdf" target="_blank">ci-joint</a>).</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">De spectateurs à
producteurs de contenus<o:p></o:p></b></div>
<div class="MsoNormal">
Le 3<sup>e</sup> temps important s’est intéressé à l’utilité
sociale, culturelle et économique de l’événement. Les participants étaient
invités à créer un argumentaire pour promouvoir l’utilité de l’événement.
Plutôt habitués à subir l’événement, ils ont dû alors se muer en producteurs de
contenu, avec, il faut le dire, un peu de mal à se mettre dans un état d’esprit
de travail, pas très loin de la mer et sous un grand soleil... En charge de la
synthèse finale de cette partie, j’ai pu tourner sur la trentaine de tables de
réflexion et constaté que, malgré un format perturbant et une durée trop
longue, les idées ne manquaient pas. Il ne faut pas laisser sans suite ce
travail et cette production. Quelle que soit leur forme, une synthèse et un
retour sont impératifs. </div>
<div class="MsoNormal">
Idem pour le 4<sup>e</sup> et dernier temps, consacré à la
manière de créer et d’entretenir une relation de confiance entre les acteurs de
la filière. Des débats très vifs se sont fait entendre. Il y a actuellement, il
faut le dire, un vrai problème de confiance entre les agences et leurs clients,
entre les agences et leurs fournisseurs… Il aurait peut-être fallu plus
s’attarder sur les raisons de la méfiance avant de chercher immédiatement des
solutions. Malgré cela, encore une fois, des contenus ont été produits et il
faudra faire un retour rapide aux participants. </div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
Les Universités d’été de l’ANAé viennent prouver, une fois
de plus, que cette filière a un besoin cruel de réfléchir ensemble et de
prendre un peu de recul sur le quotidien. Cette 5<sup>e</sup> édition marque le
retour du travail et de la production de contenus, bien que ce soit la vocation
première et traditionnelle d’une Université d’été. Je pense que l’ANAé doit faire le choix de conserver ce cap. </div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-87388483703100869602012-06-18T20:14:00.002+02:002012-06-19T10:47:51.561+02:00De l’appel du 18 juin de l’ANAé sur les compétitions<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg98ybgkS4D8xFSLUJlfWfWvUaiVSuCKz_wqRF-zFO_sBtxVrD99GUenpZDoIFExhCRLFOTPiXrygOA7gIFKjBDLA_ziwohUIViKyyiQUmCWvtNl5w15w0RCrNLwma9BAJPzQxVB7iXOK3n/s1600/IMG_0780.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg98ybgkS4D8xFSLUJlfWfWvUaiVSuCKz_wqRF-zFO_sBtxVrD99GUenpZDoIFExhCRLFOTPiXrygOA7gIFKjBDLA_ziwohUIViKyyiQUmCWvtNl5w15w0RCrNLwma9BAJPzQxVB7iXOK3n/s200/IMG_0780.jpg" width="149" /></a></div>
Le problème date depuis plusieurs (dizaines d’) années. Ni
les bonnes volontés, ni la croissance économique d’antan, encore moins les
livres blancs ou négociations successives n’y ont changé grand chose : les
« bonnes » pratiques d’une « bonne » compétition n’ont
jamais été clairement édictées, encore moins adoptées en masse par les
annonceurs, donc jamais totalement respectées. Si quelques principes très généraux
ont émergé, ils n’ont jamais résisté bien longtemps. Chaque donneur d’ordres
n’en fait qu’à sa tête. Point, à la ligne…<br />
<a name='more'></a><br />
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">La bourde de l’AACC<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Il faut reconnaître que, ces derniers temps, les abus sont anormalement
nombreux. J’y reviendrai dans un prochain post, avec quelques perles relevées
dans des cahiers des charges bien peu professionnels. L’AACC (Association des
agences conseils en communication) a récemment dénoncé ces exagérations bien
réelles en… notant les appels d’offres annonceurs et donc en désignant
nominativement les (très) mauvais élèves (voir <a href="http://www.aacc.fr/uploads/file/file/000/000/953/CP_notation.pdf" target="_blank">ici</a>)… Pour certains, cette dénonciation
rappelle les heures les plus sombres de l’histoire de France. Pour d’autres,
dont je fais partie, ce n’est pas en désignant du doigt les mauvais élèves
qu’on fait preuve de pédagogie. Quel manque d’inspiration et de discernement !
Quelle ânerie ! La publication de cette étude, critiquable dans le fond
comme dans la forme, durcit inutilement des relations avec les annonceurs déjà
bien tendues. L’association aurait été mieux inspirée en faisant appel à… une
agence de communication, voire de lobbying pour l’aider à se faire entendre
intelligemment.</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">L’ANAé prend la
parole devant les acheteurs<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Écartée par l’AACC de cette malheureuse action (et
heureusement, d’après ses dirigeants), l’ANAé (Association nationales des
agences de communication événementielles) lance, en ce lundi, son appel
(d’offres) du 18 juin sur le même sujet (<a href="http://anae.org/actualites/18062012-appel-doffres-du-18-juin" target="_blank">Lire l'Appel ici</a>)</span>. Elle appelle à un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Grenelle des Compétitions</i> qui rassembleraient à l’automne tous les
acteurs de la communication. L’idée, déjà lancée dans la foulée de l’étude par
Frédéric Winckler, président de l’AACC, le 5 juin dernier, est restée jusque là
sans réponse de la part des annonceurs. L’UDA (Union des annonceurs) ne
décolère toujours pas devant l’initiative de l’AACC… Pour promouvoir la
démarche, l’ANAé a appelé symboliquement à une mobilisation des agences, ce
lundi 18 juin à 17h30 devant le Casino de Paris (voir la photo), où se réunissent les acheteurs
à l’occasion des Trophées annuels des achats, organisé par le CDAF (Compagnie
des dirigeants et acheteurs de France). Une prise de parole pendant la soirée
était même prévue. Une action, espérons-le, plus constructive…</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Réunir tout le monde
autour d’une table<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Alors, l’ANAé aura-t-elle plus de chance dans son initiative
? Arrivera-t-elle à remettre sereinement les donneurs d’ordres autour de la
table ? Si tel est le cas, quelle sera la valeur des décisions prises, si
tout le monde arrive à un accord ? N’est-ce pas un combat perdu d’avance ?
Réponses dans les mois qui viennent... </span></div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-65457697697117310382012-05-18T21:33:00.000+02:002012-05-23T14:21:23.481+02:00Lettre à Mme la Ministre déléguée au Tourisme (d’Affaires)<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhuMGOaIsVfgE6hHo4HSK63EWCM88XQXOytJcpXQDybx3rHXi4boyubWHoTPUYZkYlZXy0DVfxq_x0r3xhxL-8XANiP-UrHvMR2GeftOLwg3-57Al8dAJ0MJFyd3HHlSJlyU7Nf8YNVUGA5/s1600/pinel.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><img border="0" height="132" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhuMGOaIsVfgE6hHo4HSK63EWCM88XQXOytJcpXQDybx3rHXi4boyubWHoTPUYZkYlZXy0DVfxq_x0r3xhxL-8XANiP-UrHvMR2GeftOLwg3-57Al8dAJ0MJFyd3HHlSJlyU7Nf8YNVUGA5/s200/pinel.jpg" width="200" /></span></a></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Madame la Ministre déléguée au Tourisme,</span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Chère Sylvia Pinel,</span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Permettez-moi, pour commencer, de passer outre
les politesses d’usage. La rédaction d’un blog oblige à aller droit à l’essentiel.
En résumé, bravo, bienvenue et bon courage. </span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Dès votre nomination connue, j’ai consulté
Google pour connaître votre empreinte numérique et touristique. Je suis tombé
sur votre blog. J’y ai recherché le mot « tourisme » pour connaître
vos réflexions sur la question. </span></span></div>
<a name='more'></a><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Je suis tombé sur votre allocution d’avril 2011 à
l’assemblée générale de la fédération pour la pêche et la protection du milieu
aquatique du Tarn-et-Garonne, votre terre d’origine. Vous félicitiez ses
membres pour la mise en place de leur programme pluriannuel de tourisme-pêche.
Vous avez également cité le mot tourisme lors de votre intervention sur la
discussion du Projet de loi pour la réforme des Collectivités territoriales, en
mai 2010. À part cela, rien. Enfin, je n’ai rien trouvé. Bien maigre
pêche ! Je ne doute pas que le mot « tourisme » fera rapidement
partie de votre champ lexical favori. Et puis, dans tout sport collectif, y
compris la politique, les meilleurs entraineurs n’ont pas forcément été les
meilleurs joueurs…</span><br />
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Le
tourisme, au cœur de la production en France<o:p></o:p></span></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Sachez-le, votre arrivée est d’abord un
soulagement. Beaucoup de professionnels du secteur, représentants associatifs en
premier lieu, se réjouissent de ne plus avoir à faire à M. Frédéric Lefèbvre,
considéré, par les plus anciens, comme le Ministre du Tourisme le plus
incompétent de ces trente dernières années… Un professionnel m’avouait que,
quel que soit votre niveau de connaissance du secteur, il sera largement
supérieur au sien. Vous êtes certainement beaucoup moins connue et médiatique
que lui. Votre ambition sera de le devenir, mais pour les bonnes raisons. Un
regret, malgré tout, que le tourisme ne bénéficie pas d’un ministère à part
entière. Ceci dit, il ne faut pas se le cacher, vous partez de loin et ce n’est
pas les prises de parole de l’ex-candidat François Hollande qui vont tracer des
objectifs et une stratégie sur le sujet. Vous le savez, le thème du tourisme a
brillé par son absence ces derniers mois. Seul François Bayrou a visité le
salon Rendez-vous en France en mars dernier. Il explique que le tourisme est
une activité essentielle de notre économie, qui peut créer 600000 emplois dans
les 5 prochaines années. Des emplois non délocalisables, au cœur de la
production en France. </span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Organiser
et développer le tourisme d’affaires<o:p></o:p></span></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Peut-être ne parle-t-on jamais du tourisme
parce que, bon an mal an, le secteur est plutôt en bonne santé. En bien
meilleure, en tout cas, que d’autres. Vous dépendez du ministère du
Redressement productif. Pas sûr que cette dénomination exotique colle à la
réalité du tourisme en France. Ce n’est pas son redressement qu’il faut
évoquer, mais bien son organisation et son développement. En tant
qu’observateur du marché Event & Meeting, je vais plutôt me concentrer sur
le tourisme d’affaires et l’événementiel, un secteur où l’expertise française
est réelle et internationalement reconnue. Je me permets d’attirer votre
attention sur trois sujets qui me semblent être essentiels à sa future
croissance :</span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR"><br /></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><b>1. Faire émerger une vraie
vision stratégique</b></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">La tenue du Congrès européen de la Cardiologie
en 2011 à Paris (30000 participants venus de 115 pays, 100000 m2 d’expo, 400
sessions scientifiques, 2000 orateurs…) et la mobilisation autour de la récente
compétition pour l’accueil du Mobile World Congress (67000 participants venus
de 205 pays, 1500 exposants, 3400 médias… Paris était finaliste)
malheureusement perdue au profit de Barcelone, montrent qu’avec un peu
d’organisation et de persévérance, la France peut avoir toutes ses chances et
le succès être au rendez-vous. La dynamique engagée par Lyon, autour de
OnlyLyon, peut servir d’exemple à Paris d’abord et à la destination France
ensuite. Le développement de la marque France et les pôles de compétitivité
doivent devenir de vrais boosters touristiques et événementiels. L’objectif est
simple : que la France redevienne, en 10 ans, la destination leader et
incontestée de l’événementiel mondial. Cette ambition dans le tourisme
d’affaires, affirmée haut et fort, nécessitera d’abord un nouvel état d’esprit
auprès de nos dirigeants et une considération toute autre, mais aussi une
évolution de l’environnement fiscal, un développement des engagements des
l’État et un changement de l’organisation publique dans ce domaine. C’est une
part non négligeable de l’avenir de l’économie française et de son attractivité
qui se joue. </span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR"><br /></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><b>2. Développer l’attractivité de
la destination France</b></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Je me souviens de l’organisateur d’un des plus
grands congrès médicaux mondiaux qui disait que, quand il avait lieu à Paris,
c’était tout de suite 30% d’inscriptions en plus. La France reste attractive,
mais sa part dans le tourisme d’affaires mondial est en baisse. Plusieurs
classements internationaux l’attestent (ICCA, UAI…). À court terme, il suffit déjà
de mettre en place des stratégies simples, comme la mobilisation des
personnalités politiques de premier ordre quand il faut défendre un dossier. On
sait le faire pour (perdre) les JO, on doit savoir le faire pour un grand
congrès mondial. Poursuivons ce qui a été entrepris sur l’accueil, aux aéroports,
dans les gares, dans les transports en commun, sur la lisibilité des tarifs,
sur les modalités de règlement... À long terme, toujours avec l’objectif de
conquérir des événements internationaux, il sera nécessaire de développer les espaces
de très grande capacité (à Paris surtout), l’offre hôtelière dans les destinations
phares (15000 chambres 3 à 5* à Paris, contre 35000 à Londres) et les surfaces
d’expositions (cinq fois inférieure à celle de l’Allemagne…).</span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR"><br /></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><b>3. Organiser le tourisme
d’affaires</b></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Tous les pays qui sont compétitifs sur ce
secteur connaissent une intervention efficace des pouvoirs publics, tant dans
l’investissement structurel que dans la promotion. Les budgets de communication
sont étonnamment faibles en France, comparés aux destinations concurrentes. On
a toujours pensé que Paris, les châteaux et la bonne bouffe suffisaient promouvoir
la destination à l’étranger. Il faut sortir de ce carcan. Cela passe, entre
autres, par une meilleure coordination des acteurs, une mutualisation des
moyens et la professionnalisation des pratiques. Au niveau national, régional,
départemental, local et j’en passe, on trouve des organismes de promotion qui
travaillent peu en réseau, dilapidant leurs faibles moyens, avec des priorités
souvent contradictoires. Quand à la professionnalisation des acteurs, je me
réfère souvent aux propos de Roger Tondeur, entrepreneur suisse, fondateur de
MCI Group, la seule agence de communication événementielle présente dans le
monde entier, intervenant dans un débat organisé par France Congrès, il y a
quelques années : « <i>Quand les politiques français arrêteront de
nommer à la tête des organismes de promotion leurs maîtresses ou leurs
dentistes, quand ils feront appel à des vrais professionnels du marketing, la
destination France sera irrésistible </i>». Des progrès ont été faits, il faut
le signaler… Poursuivons ! Enfin, ma modeste expérience de ce secteur m’a
montré que les messages, les argumentaires, les moyens… pour attirer un
touriste d’affaires, un événement, un congrès, une exposition… étaient très
différents de ceux utilisés pour convaincre un touriste tout court… Pourquoi
alors, ne pas créer une structure nationale unique, dédiée à l’événementiel et
au tourisme d’affaires ? Une sorte de France Événements aux missions
élargies, séparée d’Atout France, même si les deux entités travailleraient en
synergie. Ce qui permettrait, en plus, d’harmoniser, au plan national,
l’ensemble de l’information disponible et actuellement tellement diffuse, et de
l’analyser. S’organiser, c’est s’adapter aux évolutions des demandes et d’une
concurrence de plus en plus vive. </span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span lang="FR">Sur ces trois grands sujets, qui ne sont pas
clivants, j’espère aussi que vous saurez prêter une oreille attentive à Philippe
Augier (maire de Deauville et président de France Congrès), Marc Francina (député-maire
d’Evian et</span><span lang="FR"> président de l'Association nationale des maires des stations
classées et communes touristiques)</span><span lang="FR">, Daniel Fasquelle (député-maire
du Touquet) ou encore David Lisnard (Maire-adjoint de Cannes, en charge du
tourisme) qui, bien que désormais dans l’opposition, sont les rares élus
expérimentés à porter la réflexion et l’action politiques autour du tourisme
d’affaires dans les arcanes du pouvoir. Avec quelques avancées, maigres si l’on
considère que, depuis 15 ans, leurs amis politiques ont tenu les rênes du
pouvoir. Madame le Ministre, le tourisme d’affaires est une industrie à part
entière, dont les retombées sont considérables. Vous trouverez, j’en suis sûr,
les moyens de renforcer la compétitivité de la France dans ce domaine. Comme le
dit Gilles Pélission, en conclusion de son rapport sur <a href="http://www.tourisme.gouv.fr/stat_etudes/etudes/tourisme-affaires-grand-paris.pdf" target="_blank">Le tourisme d’affaires dans le Grand Paris – Vers une nouvelle ambition</a>, « <i>le tourisme d’affaires
[…] représente à la fois une vitrine de savoir-faire nationaux et […] il est aussi le meilleur
ambassadeur de l’attractivité de la France pour des investissements
internationaux</i> ». À titre personnel, je me tiens à votre disposition pour
réfléchir et agir aux côtés de vos équipes. </span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Je vous prie d’agréer, Madame le Ministre, l’expression
de ma très haute considération. </span></span></div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-34196725723666495022012-05-14T12:33:00.000+02:002012-05-14T12:33:35.393+02:00Quel avenir pour la convention événementielle ?<!--[if gte mso 9]><xml>
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirNGJ-ju-B07NJWU88ntjx1YmLaKUzHEnEkfHrZD0CqzLsnd8aiC9lzbXt0yrRp0FpJFRlUFdA4-bF1T4E9te3d77HZAWZoGOgjLrv9zpIiFTPhfUBRebAj6DBOB2SZ3RUfpv6v7gRWDT_/s1600/Convention.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="132" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirNGJ-ju-B07NJWU88ntjx1YmLaKUzHEnEkfHrZD0CqzLsnd8aiC9lzbXt0yrRp0FpJFRlUFdA4-bF1T4E9te3d77HZAWZoGOgjLrv9zpIiFTPhfUBRebAj6DBOB2SZ3RUfpv6v7gRWDT_/s200/Convention.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="MsoNormal">
La convention, ce rassemblement live des
forces la plupart du temps internes d’une entreprise, est le fondement de la
communication événementielle, le géniteur historique du secteur. Tous les
opérateurs du marché sont nés de l’organisation ou de l’accueil de conventions.
Les agences, auxquelles les entreprises, ont sous-traité la logistique, la
production et le contenu. Les prestataires, qui ont créé des offres, des
produits, des services… Les lieux, palais des congrès et hôtels gros porteurs
en tête, qui ont vu dans ce type d’événements un intéressant relais de
croissance et de communication.</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Peu
d’évolutions<o:p></o:p></span></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Trente ans après sa formalisation, le genre
perdure et connaît toujours le succès. La convention n’est pas si différente
aujourd’hui. </span></span></div>
<a name='more'></a><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Même utilisation des outils du théâtre, du spectacle, même
inspiration des succès de la télévision, mêmes lieux, mêmes ménages
journalistiques ou artistiques... Peut-être que les techniques de communication
se sont améliorées, que la réflexion autour du message et du contenu a évolué,
est plus profonde, que le web a permis de mieux la préparer et de mieux
prolonger ses effets… Mais, dans les grandes lignes, rien n’a changé fondamentalement.</span><br />
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">La
remise en cause de la relation manager/managés<o:p></o:p></span></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">La convention est un élément constitutif de la
stratégie de communication interne. Même quand elle est initiée par une
direction opérationnelle différente, elle reste un moment clé de la relation
entre les managers et les managés, entre les cadres dirigeants et leurs
collaborateurs. Plusieurs études récentes sont venues rappeler que cette
relation n’est pas au beau fixe. Je n’en citerai qu’une pour illustrer mon
propos, l’étude TNS Sofres réalisée en janvier 2012 pour Entreprises &
Médias, l’association des directeurs de communication. 59% des salariés
non-managers déclarent que l’entreprise ne répond pas à leurs préoccupations et
un sur deux ne fait pas confiance à sa direction pour l’informer.</span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">La
nécessité d’une convention renouvelée<o:p></o:p></span></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Le message passe donc beaucoup moins bien et
la relation manager/collaborateurs doit être améliorée. Loin de moi l’idée de
dire que l’immobilisme des conventions tant sur la forme que sur le fond est
l’unique raison de cette désaffection. Mais elle y participe certainement. Si
on est positif, on peut dire que le renouvellement de la convention est une
condition nécessaire, mais pas forcément suffisante, à l’amélioration des
relations sociales dans l’entreprise. Et tous les opérateurs, depuis les
conseils, les créateurs de contenus, en passant pas les lieux, ont un rôle à
jouer. J’appelle donc de mes vœux un Grenelle de la Convention
événementielle !</span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Quelques
rares pistes de réflexion<o:p></o:p></span></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Au-delà de la plaisanterie, une profonde
réflexion sur ces rendez-vous essentiels de la vie de l’entreprise est
nécessaire pour plusieurs raisons : </span></span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpFirst" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<!--[if !supportLists]--><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span lang="FR" style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><!--[endif]--><span lang="FR">le web 2.0 et bientôt 3.0 offre
déjà des interconnexions, par forcément pertinentes, mais qui existent,
s’affichera, avec l’amélioration des transmissions, comme un concurrent aux
conventions traditionnelles, quoiqu’en disent les professionnels qui crient,
haut et fort, que rien ne vaut la rencontre physique. Ils ont raison, mais
n’empêche…</span></span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpMiddle" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<!--[if !supportLists]--><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span lang="FR" style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><!--[endif]--><span lang="FR">si la convention, un outil qui
reste cher, ne répond plus aux objectifs de communication interne, les
décisionnaires, par ces temps difficiles, réorienteront leur budget. Et on en
revient au point précédent…</span></span></div>
<div class="MsoListParagraphCxSpLast" style="margin-left: 18.0pt; mso-add-space: auto; mso-list: l0 level1 lfo1; text-indent: -18.0pt;">
<!--[if !supportLists]--><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><span lang="FR" style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt "Times New Roman";">
</span></span></span><!--[endif]--><span lang="FR">par ricochet, les investissements futurs
de beaucoup de prestataires et de lieux dépendent, pour certains, de l’avenir
des conventions…</span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Pour donner une nouvelle impulsion à la convention
et à la relation manager/managés, tout le monde est conscient qu’il faut de
nouvelles approches créatives. Des initiatives existent et j’y reviendrai dans
un prochain post… </span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<!--EndFragment-->Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-10310246081330696192012-05-04T12:21:00.002+02:002012-05-04T12:21:29.239+02:00#4 Agences : un positionnement à construire<!--[if gte mso 9]><xml>
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDK1hAe1XUaiVmJVh_C1eJJlH4gE0QhaDmIIUDzFdFgSoLlyBuxPaKnu9x6mg2soPjk6M-ezbxJ6qNSTDgrxvYK6dz6inn7FSAv3Eag6baRHDytJ6P7lpEc9du8aYerL7uNuV6gwiRioDf/s1600/chiffre-adhesif-h100-x-l60-mm-n-4-blanc-sur-fond-rouge.jpg,zoom,3450134.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDK1hAe1XUaiVmJVh_C1eJJlH4gE0QhaDmIIUDzFdFgSoLlyBuxPaKnu9x6mg2soPjk6M-ezbxJ6qNSTDgrxvYK6dz6inn7FSAv3Eag6baRHDytJ6P7lpEc9du8aYerL7uNuV6gwiRioDf/s200/chiffre-adhesif-h100-x-l60-mm-n-4-blanc-sur-fond-rouge.jpg,zoom,3450134.jpeg" width="120" /></a></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Dans un environnement tendu (#1 décrit <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/1-agences-un-positionnement-construire.html" target="_blank">ici</a>),
face à une demande floue (#2 analysée <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/2-agences-un-positionnement-construire.html" target="_blank">ici</a>), un bon positionnement (#3, voir les
tendances <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/05/3-agences-un-positionnement-construire.html" target="_blank">ici</a>) est la condition <i>sine qua non</i>, pour une agence de communication
événementiel, pour exister, pour se différencier, pour fidéliser ses clients et
pour en attirer de nouveaux.<span class="Apple-style-span" style="color: orange; font-size: large;"> #4 Les enjeux actuels sont limpides</span> : à la dimension
de la structure, pérenniser son offre, à la taille du marché, promouvoir une
nouvelle manière d’apporter des solutions aux problématiques managériales ou de
communication. </span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Dans un marché de la communication bousculé
par la crise et la révolution numérique, </span></span></div>
<a name='more'></a><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">qui impliquent de nouveaux modes de
consommation, de circulation, de partage…, les agences de communication
événementielle ont une formidable place à prendre grâce à trois avantages
concurrentiels : </span><br />
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">• leur habitude à
« travailler » la relation avec les publics, internes ou externes,
souvent en direct live,</span></div>
<div class="MsoNormal">
• leur capacité à produire des
contenus visuels, événementiels, à raconter une histoire qui touche,<span lang="FR" style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;"><span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">• leur volonté de créer du buzz en intégrant le web social dans leurs dispositifs.</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><o:p><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><b>Quatre défis à relever</b></span></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Vous me direz, quand on se dit agence de
communication, on devrait posséder ces qualités. Certes, mais je pense que,
dans un contexte de changement profond, les agences de communication
événementielle possède ce petit plus, cette expérience, cette compétence qui
colle bien aux enjeux actuels. Elles ont les atouts, reste à relever quatre
défis :</span></span><span lang="FR" style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;"><span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR" style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;"><span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"><br /></span></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><b>• le renforcement des expertises : </b></span><span lang="FR">l’enjeu du recrutement, de la formation, du <i>knowledge management</i> est essentiel. Dans ces métiers, c’est le « <i>brain</i> » qui compte. La matière première de l’événement,
encore une fois tel que je l’ai défini <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/mais-quest-ce-donc-quun-evenement.html" target="_blank">ici</a>, c’est l’être humain. Les ressources
humaines sont un vrai défi, car j’ai le sentiment que les agences
événementielles n’attirent plus les jeunes « hauts potentiels », </span><span lang="FR" style="mso-ascii-font-family: Cambria; mso-bidi-font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: Cambria; mso-hansi-font-family: Cambria;"><span style="mso-list: Ignore;"><span style="font: 7.0pt "Times New Roman";"> </span></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><b>• la consolidation
structurelle :</b> je rencontre souvent des petites agences inventives, des
hommes brillants mais isolés qui se plaignent du manque de ressources, de ne plus pouvoir concourir sur des gros dossiers…
Mesdames, messieurs, associez-vous ! Depuis plusieurs années, on a
l’impression d’un éclatement de l’offre (un directeur conseil qui part ouvrir
son agence avec un client, courant non ?) plutôt que d’une consolidation. Ce n'est pas la preuve d'un marché mûr. Difficile de réunir des caractères, voire des caractériels, mais le jeu en vaut
la chandelle. Assouplissez-vous donc ! </span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b>• la communication métier :</b>
dans un marché opaque, il faut émerger. C’est une nécessité pour exister. Le
« vivons heureux, vivons caché » n’est plus d’actualité. Les agences
de communication événementielle devraient appliquer à elles-mêmes ce qu’elles
conseillent à leurs clients. Le marché a besoin de pédagogie, de best
practices, de partage d’expériences… C’est aussi le rôle des associations
professionnelles, que je trouve bien timides sur ce point (et d'autres...),</div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><b>• l’internationalisation : </b>il
n’existe aucun réseau événementiel international aujourd’hui, y compris dans
les grands groupes. Après le cuisant échec Capital Events, l’indépendant suisse
MCI est la seule structure qui, aujourd’hui, bénéficie d’un réseau à l'international (25 pays sur tous les continents, 48 bureaux), mais son offre d’« <i>association management </i>» semble prendre le dessus sur l’<i>event</i>. Le
Public Système, grâce à son rapprochement avec Hopscotch, semble dessiner une
offre internationale. Il y a déjà quelques années, un dirigeant d’une marque
mondiale de sportswear et le patron d’un leader dans les télécommunications me
disaient leur désarroi de ne pas pouvoir s’appuyer sur un réseau international
événementiel. Il y a, là encore, une place à prendre…</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Trois atouts concurrentiels, quatre défis… Les
dix années qui viennent vont être passionnantes. Tout le monde réfléchit
actuellement et, plus que jamais, essaie de se projeter. C’est nécessaire et sain. Car
c’est effectivement les choix qui se font aujourd’hui qui conditionnent
l’avenir des agences de communication événementielle, de leur positionnement et
de leur développement. </span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><br /></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Voilà boucler la série de 4 posts dédiés aux agences événementielles, posts qui suscitent déjà quelques débats. J'aurai certainement l'occasion de revenir sur tout ou partie de ces points. </span></span></div>
<!--EndFragment-->Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-70952327118246818452012-05-03T18:13:00.000+02:002012-05-04T12:23:45.698+02:00#3 Agences : un positionnement à construire<br />
<div class="MsoNormal">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHXWaeoYSk6Vvam872hbsRtF96JhDW7XhyphenhyphenfBLwwhVDGazpX4kdkJUVa9KBZmShqmDgI_XxfQ0fGriiPXiSgMstss4TbDz976sGY2Guiaebq9UdXeE7Wp4jYZDfwUw0G3yKps2oh5aC5pxz/s1600/chiffre-adhesif-h100-x-l60-mm-n-3-blanc-sur-fond-rouge.jpg,zoom,3450133.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHXWaeoYSk6Vvam872hbsRtF96JhDW7XhyphenhyphenfBLwwhVDGazpX4kdkJUVa9KBZmShqmDgI_XxfQ0fGriiPXiSgMstss4TbDz976sGY2Guiaebq9UdXeE7Wp4jYZDfwUw0G3yKps2oh5aC5pxz/s200/chiffre-adhesif-h100-x-l60-mm-n-3-blanc-sur-fond-rouge.jpg,zoom,3450133.jpeg" width="120" /></a></div>
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Entre l’attitude souvent peu claire des
donneurs d’ordres (#2, voir <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/2-agences-un-positionnement-construire.html#more" target="_blank">ici</a>), qui s’accentue dans les périodes
économiquement tendues, et un marché Event & Meeting qui se complexifie (#1
voir <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/1-agences-un-positionnement-construire.html" target="_blank">ici</a>), <span class="Apple-style-span" style="color: orange; font-size: large;">#3 quel positionnement les agences de communication événementielle
doivent-elles adopter ? </span></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Cette question, tous les patrons d’agence se
la posent, encore plus en ce moment. S’il y avait une réponse toute faite,
garante du succès, nul doute que l’offre des agences serait aujourd’hui lisible
et visible. </span></span><br />
<a name='more'></a><span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Ce n’est pas le cas. Il y a autant de positionnements que
d’agences ! Je rencontre tous les jours des annonceurs qui n’imaginent pas
les problématiques auxquelles un événement (tel que je l’ai défini <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/mais-quest-ce-donc-quun-evenement.html" target="_blank">ici</a>) peut
apporter comme solutions, concrètes et efficaces. Contrairement à ce que disent
les dirigeants, le réflexe, chez les annonceurs, est de faire appel
aux agences événementielles pour la production, l’organisation, la logistique… Pas encore pour le conseil, la création de dispositif, le contenu… Il suffit d’ailleurs de
saisir « conseil événementiel » dans Google (profitez-en <a href="http://www.google.fr/#hl=fr&sclient=psy-ab&q=conseil+%C3%A9v%C3%A9nementiel&oq=conseil+%C3%A9v%C3%A9nementiel&aq=f&aqi=g-lv1&aql=&gs_l=hp.3..0i13i15.1347.4302.0.4733.20.9.0.11.11.0.145.800.8j1.9.0...0.0.NDDKSg4evW0&pbx=1&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.r_qf.,cf.osb&fp=7b62f8dcf9fb9f51&biw=1011&bih=675" target="_blank">ici</a> !)
pour comprendre le grand malentendu…</span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Ceci dit, on peut, malgré tout, distinguer
aujourd’hui trois grandes tendances, trois familles dans les agences, qui
préfigurent la structuration de l’offre pour demain : </span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><b>1. les généralistes </b></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Elles sont filiales
de grands groupes de communication (Auditoire, Publicis Events, Havas Event, DDB
Live for people, Prodeo, Connect Factory…) ou plus rarement indépendantes (Le
Public Système, Lever de Rideau…). Elles ont quand même su se faire une place
récente dans le gotha des agences de communication (n’oublions pas que la
délégation événementielle de l’AACC, l’Association des agences conseil en
communication créée en 1972, n’a pas 10 ans…). Intéressées par tous types de
dispositifs (corporate, grand public…), elles sont structurées autour d’un pôle
développement fort (elles savent aller chercher le client !), d’équipes
dédiées à un client (quand elles ont contracté, ce qui est rare…) et une
direction de la création (la plupart du temps, un peu faiblarde…). Le
reste ? Externalisé ! Mais elles rassurent… Parce qu’elles sont
adossées à un groupe et/ou parce qu’elles ont réussi à atteindre un seuil de
chiffre d’affaires qui leur permet de donner toutes les garanties à des
directions financières et d’achats, de plus en plus nombreuses, qui exigent des
ratios dignes de grands groupes… Un des seuils psychologiques chez certains
annonceurs, c’est d’après moi 25 M€ de chiffre d’affaires. En dessous, point de
statut de généraliste !</span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><b>2. Les spécialistes </b></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Plus petites, elles
ont réussi à creuser leur sillon sur un secteur économique particulier ou un type
d’événement. On trouve ainsi les
spécialistes du luxe (Shortcut, La Mode en Images, Parti-Pris, Marcadé…), de la
mode (Bureau Betak, Obo, Eyesight…), de la santé (La Fonderie…) ou encore du
road show (CPM Event), de l’événement de rue (La Fonderie encore), de la
promotion événementielle (Idéactif…), de l’événement corporate… et j’en passe.
Souvent, on trouve à la tête de ces structures un patron charismatique,
reconnu, qui est à la fois l’atout commercial, mais souvent aussi le frein en
termes de développement. Je me demande toujours ce que deviendront ces agences
quand leurs dirigeants préfèreront, et c’est tout ce que je leur souhaite,
profiter du temps qui passe au soleil… Peu ont réussi à créer une structure qui
se pérennisera, peu délèguent et à transmettent leurs connaissances, leur
mémoire événementielle, leurs relations clients… La plupart ont fidélisé leurs clients sur leur nom propres et leurs compétences et je crains que leur boîte, invendable, s'éteindra avec leur volonté d'aller faire autre chose...</span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><b>3. Les inventives</b></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Bertrand Biard,
patron de l’agence C105, préfère parler d’inventivité que de créativité… Et je
fais mienne cette nouvelle sémantique, qui mériterait d’être reprise et promue dans
le landernau événementiel. La notion de « créativité » est totalement
accaparée par les agences de pub. Et le terme « inventivité » est
beaucoup plus riche et intègre, en plus de la créativité, la notion
d’innovation. Et c’est justement l’atout de ces agences
« inventives » : elles ont placé l’idée au centre de leur
modèle. Ubi Bene, Magic Garden Agency, Double 2, Passage Piéton, Effikas…
considèrent cette inventivité comme base de leur relation clients. Elles ont
souvent été les précurseurs de l’intégration des techniques digitales dans
leurs recos. Dirigées par des patrons dont l’expérience dépasse souvent le
cadre événementiel, composés de natifs numériques (digital natives pour les
accros à l’anglais…) ouverts, cultivés et débordant d’énergie, elles
révolutionnent le modèle d’agences de communication événementielle et
préfigurent, à mon avis, l’offre événementielle de demain. En quête permanente
de solutions plus que de chiffre d’affaires, elles séduisent. Reste, pour
elles, à démontrer que le modèle est viable dans l’avenir, même si la plupart
affiche dix ans d’ancienneté…</span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Je pense qu’au-delà de ces trois
positionnements, il n’y a point de salut. Dans tous les cas, sans un
positionnement fort, pas de développement durable possible. Il y aura toujours
d’autres formes de structures comme des agences mono-client, des cellules
créatives, des individus qui sauront séduire un décisionnaire ou des
collaborations ponctuelles entre professionnels, mais plus la relation se
voudra durable avec un donneur d’ordres (tout le monde le souhaite !), plus les trois positionnements s’affirmeront
comme les seuls possibles pour faire face aux enjeux de demain. <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/05/4-agences-un-positionnement-construire.html" target="_blank">Et les enjeux, c’est pour l’ultime post de cette série…</a></span></span></div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-7385220931746984702012-04-25T18:43:00.004+02:002012-05-04T12:24:23.855+02:00#2 Agences : un positionnement à construire<br />
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkp-JAf53J6jJaW8bwUIDOyV1hmhEfz3MEc0BpaF2IKPyTb_RrZ7UTBaYmnFEIgxUfuWhvVt4djGyDTfQo6Gk3CZatbljHc6CQoCXcYJRzaT3U23vS8RNWAZNzxxSCvjWM8sPli_0MK86u/s1600/chiffre-adhesif-h100-x-l60-mm-n-2-blanc-sur-fond-rouge.jpg,zoom,3450132.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkp-JAf53J6jJaW8bwUIDOyV1hmhEfz3MEc0BpaF2IKPyTb_RrZ7UTBaYmnFEIgxUfuWhvVt4djGyDTfQo6Gk3CZatbljHc6CQoCXcYJRzaT3U23vS8RNWAZNzxxSCvjWM8sPli_0MK86u/s200/chiffre-adhesif-h100-x-l60-mm-n-2-blanc-sur-fond-rouge.jpg,zoom,3450132.jpeg" width="120" /></a></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Les agences de communication événementielle
évoluent donc dans un environnement compliqué (voir <span style="color: #0000f6;"><a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/1-agences-un-positionnement-construire.html#more" target="_blank">ici</a></span>), accentué par la période économiquement
tendue que toute l’économie traverse. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">En plus de cela, <span class="Apple-style-span" style="color: orange; font-size: large;">#2 l'attitude des donneurs
d’ordres </span>ne facilite pas non plus leur structuration. </span>Pour commencer, rappelons quand même que de leur
comportement et de leurs arbitrages en matière de dépenses de communication
dépendra en partie l’avenir du métier. Pour avoir une idée, il suffit
d’observer les clients matures en termes événementiels. Traditionnellement, les
constructeurs automobiles, les laboratoires pharmaceutiques et les maisons de
luxe et de cosmétiques sont considérés comme des bons indicateurs.</div>
<a name='more'></a><br />
<div class="MsoNormal">
<b><br /></b></div>
<div class="MsoNormal">
<b>Des annonceurs qui se tendent mais qui restent ouverts</b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Côté fabricants de véhicules, on se cherche. Les
moyens dégagés pour les lancements sont globalement toujours aussi importants,
comme on le voit actuellement avec la Renault Twizy autour des Guetta, mais les
stratégies développées font de plus en plus appel au digital. Autre tendance,
le retour à une certaine fidélité. Toutes les marques du groupe Volkswagen, par
exemple, apparaissent comme plutôt loyales envers leurs agences. Audi par
exemple a contractualisé avec Double 2 pour les trois prochaines années,
après six ans passés avec Shortcut. Et Volkswagen est accompagné habituellement
par FC2. Du côté des conventions concessionnaires, ça a plutôt tendance à se
réduire et des initiatives sur le web sont privilégiées.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">En ce qui concerne les labos, c’est le calme plat,
quand ce n’est pas zéro événement ! Les laboratoires ont, à la différence des
constructeurs automobiles, plutôt tendance à rompre toute contractualisation,
comme on l’a vu il y a deux ans chez Sanofi Aventis avec Publicis Events et
Meetings. Enfin, chez les maisons de luxe et les cosmétiques, les budgets plus
serrés n’ont pas réduit le nombre d’événements. Et ces entreprises n’hésitent
pas à sortir leur carnet de chèque quand il y a une bonne idée, une innovation,
un dispositif original… Les défilés de mode, événements stratégiques s’il en
est, n’ont pas vu leur budget baissé.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal">
<b>La tension des donneurs d'ordres</b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">En conclusion, les annonceurs se cherchent et les
budgets se resserrent. Ces indécisions permanentes (des briefs qui
n’aboutissent jamais, des compétitions à 25 agences…) sont révélateurs de leur
état d’esprit : hésitation, comportement en dehors des pratiques
traditionnelles, stress dû pression hiérarchique et aux tensions sur le marché
de l'emploi… Mais je pense, et j’y reviendrai dans un futur post, qu’il y a
aussi une crise des idées chez les agences. Celles qui ont mis l’idée au centre
de leur offre ne semblent d’ailleurs pas touchées par la crise.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Autre considération, la dichotomie de la
professionnalisation des donneurs d’ordres. D’un côté, les responsables ont une
connaissance du marché qui s’approfondit. Ils connaissent les prix, grâce au
travail passé des directions achats, et n’hésite pas à parler stratégie avec
certains prestataires clés comme les traiteurs ou les prestataires techniques.
AU bout de la chaîne, les équipes opérationnelles sont jeunes, inexpérimentées
et mal formées. Ce qui perturbe souvent le relationnel annonceur/agence. Du
côté des achats, je pense qu’il y a un vrai recul de leurs compétences. Autant,
pendant ces cinq dernières années, leur boulot a été efficace, autant j’ai été
dernièrement surpris, chez un opérateur téléphonique et un labo, par la
méconnaissance du sujet : pas de sourcing, pas de benchmark, pas de valeur
ajoutée, pas de stratégie, pas de tentative de compréhension des structures de
coûts des partenaires événementiels, pas de travail avec les opérationnels…
Dans l'entreprise, il n'y a pas de mémoire événementielle et je trouve cela
tragique.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><b>Un contexte et des clients difficiles...</b></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Bref, la multitude des points de contacts et des
besoins pas clairs ou mal exprimés n’aident pas l’entreprise à structurer sa
consommation d’événements. La contractualisation reste encore une denrée rare.
Ce qui empêche, il faut le dire, les agences de se projeter et d’investir dans
les ressources humaines qualifiées, qui coûtent cher.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Avec un contexte compliqué, des clients compliqués,
des perspectives compliquées, quel positionnement pour une agence ?
<a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/05/3-agences-un-positionnement-construire.html" target="_blank">Quelques pistes de réflexion dans le troisième post à venir…</a></span></div>
<br />Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-85130445374163456022012-04-24T13:28:00.002+02:002012-04-25T18:54:47.177+02:00#1 Agences : un positionnement à construire<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMZO9tmtc9YrhGSO3K4SSkfvDD08JQAZ6uv24cSYKjPZzSTeLlpgnRFhMJ9IlAffs_q8MX-fpN7Klj-U4TxiAAGjlD2BAdj-wTZR5vZEhTOAuzi9lFvjFYoWgBHEUv8i-ZrlqSSOMjj27a/s1600/chiffre-adhesif-h100-x-l60-mm-n-1-blanc-sur-fond-rouge.jpg,zoom,3450131.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMZO9tmtc9YrhGSO3K4SSkfvDD08JQAZ6uv24cSYKjPZzSTeLlpgnRFhMJ9IlAffs_q8MX-fpN7Klj-U4TxiAAGjlD2BAdj-wTZR5vZEhTOAuzi9lFvjFYoWgBHEUv8i-ZrlqSSOMjj27a/s200/chiffre-adhesif-h100-x-l60-mm-n-1-blanc-sur-fond-rouge.jpg,zoom,3450131.jpeg" width="120" /></a></div>
Après l’introduction (retrouvez-la <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/agences-un-positionnement-construire_23.html#more" target="_blank">ici</a>) qui pose les
problématiques, place à la première des quatre parties :<br />
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="background-color: white; color: orange; font-family: inherit; font-size: large;">#1 Dans quel environnement évoluent les agences ?</span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Pour se projeter dans l’avenir, commençons par jeter un
petit coup d’œil derrière nous, puis par analyser le présent. En France, la
quasi-totalité des agences de communication événementielle est née, soit de
la production sous-traitée par les agences de publicité, soit du monde de la
fête (spectacles, soirées étudiantes, monde de la nuit…). Beaucoup de
dirigeants d’agences viennent donc du terrain, peu sont sortis des mêmes écoles
que les donneurs d’ordres en entreprise. Leurs collaborateurs non plus,
d’ailleurs. Je pense que cette réalité a une incidence sur le relationnel avec
les clients et ne favorise pas les agences dans l’élargissement de leur offre.
Aujourd’hui, alors que la production et la logistique sont des activités
totalement maîtrisées, l’offre conseil, réflexion, stratégie échappe encore aux
agences de communication événementielle. </span><br />
<a name='more'></a><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Je ne dis pas qu’elles sont incapables
d’apporter un conseil stratégique, mais que les annonceurs ne leur font
immédiatement confiance pour cela. A quelques exceptions près.</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Croissance 0 à tous
les niveaux<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Selon <a href="http://anae.org/actualites/14022012-etude-anae-bedouk-2012" target="_blank">l’étude Anaé/Bedouk</a>, le CA cumulé des agences de communication
événementielles s’élèverait en France à 2,02 milliards d’euros, sur un marché
qui totaliserait environ 8,9 M€ de dépenses (<a href="http://www.bedouk.fr/article/en-2011-le-tourisme-d-affaires-a-mieux-resiste-que-le-loisir.109549" target="_blank">étude Bedouk/Coach Omnium 2012</a>).
Les 400 agences répertoriées représentent donc plus de 22% du marché. Il y a
cinq ans, une étude personnelle, dont je passe les détails, m’avait amené à
considérer que les agences maîtrisaient environ 30% du marché. La part des
agences sur le marché de l’événement, historiquement atomisé, est clairement en
baisse. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Plus globalement, et si on est optimiste, les dépenses
globales de communication des entreprises n’augmenteront pas. C’est logique,
puisqu’il n’est pas prévu, à moyen terme, que la croissance s’envole… En
revanche, l’explosion du digital va redéfinir en profondeur les arbitrages budgétaires. Par
ricochet, les agences de communication événementielle devront trouver des
relais de croissance ailleurs que dans leur métier premier. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Le marché se complexifie,
tout le monde fait tout<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Les agences sont par ailleurs attaquées sur le métier de
base, la production. Beaucoup d’opérateurs sont capables d’organiser un événement. Quand on voit le Groupe Jaulin, leader sur les G8/G20 ou le Groupe
Novelty en charge de l’assemblée générale de Natixis ou encore GL events sur le
Saut Hermès, on se dit que les prestataires ont la tentation d’élargir leurs
activités et n’hésitent plus à passer en direct avec l’annonceur, sur des types
d’événements traditionnellement confiés aux agences. Les gestionnaires de lieux
se structurent également (voir <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/la-revolution-structurelle-des-lieux.html" target="_blank">ici</a>) et sont capables de produire. Sans parler
des traiteurs organisateurs de réceptions ou autres décorateurs. Pour finir, je
trouve d’ailleurs qu’il y a plus que jamais une course effrénée au contact
direct avec le donneur d’ordres... Le fait est que la valeur ajoutée des agences de communication événementielle perd de sa visibilité et de sa lisibilité.</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Pour conclure cette première partie, l’environnement des
agences de communication est dur et va encore se durcir. La concurrence qui
s’accroît sur les métiers de base, les économies faites par les annonceurs sur
leurs dépenses de communication, la révolution digitale et le niveau
insuffisant de la formation du capital humain pèsent actuellement sur les agences. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Prochain rendez-vous, <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/2-agences-un-positionnement-construire.html#more" target="_blank">les exigences des annonceurs</a>,
qui ne facilitent pas non plus leur structuration…</span></div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-66954499605163644272012-04-23T17:26:00.004+02:002012-05-04T12:23:22.534+02:00Agences : un positionnement à construire #introduction<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg44VXFhngFJKLZ25tq-nLaGZ1IHkPpyEjGyAAs9mT2ruxxcUK53sb3_dhY7hCRR-Az_edwvkeXCAcEY_7RKMhD0K3u_DIv3LQ_SNe96QxVwSxAa0_-XHVAbNEKRumypKNCRILLX551toPT/s1600/chiffre-adhesif-h100-x-l60-mm-n-0-blanc-sur-fond-rouge.jpg,zoom,3450130.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg44VXFhngFJKLZ25tq-nLaGZ1IHkPpyEjGyAAs9mT2ruxxcUK53sb3_dhY7hCRR-Az_edwvkeXCAcEY_7RKMhD0K3u_DIv3LQ_SNe96QxVwSxAa0_-XHVAbNEKRumypKNCRILLX551toPT/s200/chiffre-adhesif-h100-x-l60-mm-n-0-blanc-sur-fond-rouge.jpg,zoom,3450130.jpeg" width="120" /></a></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">L'événement, tel que j’ai tenté de le définir (voir <a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/mais-quest-ce-donc-quun-evenement.html" target="_blank">ici</a>), est devenu un mode de communication, voire
de management, très tendance. Les organisations ont, je crois, compris que la
rencontre avec leurs publics, internes comme externes, et une nécessité vitale
pour développer leur business. Reste la mise en scène de cette rencontre, véritable
enjeu pour améliorer notoriété ou image, augmenter les ventes ou motiver les
hommes. Les annonceurs doivent donc chercher à faire vivre à leurs cibles un
moment « extra-ordinaire », une expérience exceptionnelle à laquelle
chacun ne pourrait prétendre.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Les
agences ont un rôle fort à jouer<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Dans ces quêtes d’exceptionnel, les agences, qu’on qualifie
encore aujourd’hui de communication événementielle, ont un formidable rôle à
jouer. </span>Si elles font un effort clair de positionnement...</div>
<a name='more'></a>Il est temps, pour elles, de
s’interroger enfin sur leur marché, sur leurs compétences et sur la demande des
clients pour qu’elles se structurent structurer et gagnent la confiance de
donneurs d’ordres en attente de propositions originales et pertinentes.<br />
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;">Je vous propose une réflexion en quatre temps qui
feront l’objet de quatre posts différents : <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/1-agences-un-positionnement-construire.html#more" target="_blank">#1 Dans quel environnement évoluent les agences ?</a><o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/04/2-agences-un-positionnement-construire.html#more" target="_blank">#2 Quelle est la demande actuelle ?</a><o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/05/3-agences-un-positionnement-construire.html" target="_blank">#3 Quel positionnement adopté ?</a><o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span class="Apple-style-span" style="font-family: inherit;"><a href="http://lionelmalard.blogspot.fr/2012/05/4-agences-un-positionnement-construire.html" target="_blank">#4 Quel type de structure va gagner ?</a></span><span style="font-family: Arial;"><o:p></o:p></span></div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-41841807533033319082012-04-20T00:15:00.000+02:002012-04-20T00:26:02.278+02:00Mais qu’est-ce donc qu’un événement ?<br />
<div class="MsoNormal">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvXvCL9_IVLb3K8LaTHqe29swsRtJBrZcpgPVu3vtrCT7p0TFcv-hOrg2t0ABQ9_0jZcqF94MAKicxt3mr6eUBtgYEfOtzlDoH7DACIDRKYLuz4jc1oKOwFFZQkTclGfYAdcuEMswsxbiS/s1600/Publics.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="85" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvXvCL9_IVLb3K8LaTHqe29swsRtJBrZcpgPVu3vtrCT7p0TFcv-hOrg2t0ABQ9_0jZcqF94MAKicxt3mr6eUBtgYEfOtzlDoH7DACIDRKYLuz4jc1oKOwFFZQkTclGfYAdcuEMswsxbiS/s200/Publics.jpg" width="200" /></a>J’aurais peut-être dû ouvrir ce blog en
commençant par apporter ma contribution à un débat impossible et sans fin qui,
depuis des lustres, agite le landernau de la communication : la définition d’un
événement. Dernière tentative en date, le <a href="http://www.salon.bedouk.com/IMG/pdf/bedouk-080211-10h30-evenement.pdf" target="_blank">forum « Qu’est-ce qu’un événement ? »</a> qui s’est déroulé au Salon Bedouk, en février dernier,
avec, tenez-vous bien, deux éminences grises du marché : <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d%C3%A9ric_Bedin" target="_blank">Frédéric Bedin</a> (Le Public
Système) et <a href="http://www.gadweil.com/createur_d_art_de_rue.html" target="_blank">Gad Weil</a> (La Fonderie). Allez, comme les plus grands s’excitent les
méninges sur le sujet, je me prête aussi au jeu, mais en toute modestie…</div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><o:p></o:p></span></div>
<a name='more'></a><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR">Tout
est dans la mise en scène du message</span></b><br />
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">D’abord, à l’origine, il y a toujours une
organisation, privée ou publique, ou une marque. Elle décide, à un moment donné
de son existence, de son activité, de transmettre un message à une cible, une
communauté, une tribu, voire à tout le monde ! Pour ce faire, elle décide
de réunir en direct live tout ou partie de ce public pour lui délivrer son
contenu. Si on s’arrête là, on est plutôt dans la réunion, le séminaire, la
conférence, la formation ou le meeting. Pour ma part, je parle d’événement
quand il y a une mise en scène de la rencontre directe, réelle, entre l’émetteur,
son message et son ou ses publics. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">Quand je parle de mise en scène, le passionné
de théâtre que je suis se réfère tout de suite à Constantin Stanislavski, qui a
révolutionné la pratique théâtrale à la fin du XIXe siècle. Il a fait fi des
conventions et des codes artificiels de l’époque pour se concentrer les
méthodes de transmission de l’émotion, seul sentiment qui donne au texte (au
message) authenticité, vérité, pertinence et efficacité. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR">Grâce
au digital, un nouveau monde d’idées<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">Qui dit mise en scène, dit donc idée de mise
en scène, la bonne idée qui va permettre la transmission du message et créer l'émotion. Seuls ceux qui placent l’idée, parti-pris créatif, au centre de la mise
en scène de leur message peuvent prétendre parler d’événement. Et l’immensité
du monde numérique ouvre un nouveau champ d’idées possibles, qui marque une remise en
cause de la communication actuelle, une rupture avec ses conventions.
Et cette rencontre physique mise en scène entre l'organisation, la marque et
ses publics qu’est l’événement, n’a pas fini d’être sublimée. </span></div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-91060272109578680482012-04-19T16:52:00.001+02:002012-04-20T00:19:30.364+02:00La révolution structurelle des lieux<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_nirziiJpLnltexj73xw773_yXPpnnSXtt3yUjq1OBCDJhlmdpslTrvw_AmuyZYWs-SP3OEyPySeG-QYQx5V9hThD7iONBZAjhmhlzBZmw_oAL09sO7yBPU-cj71-lKnSOK_v7WRXGmEE/s1600/Potel&+Chabot.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="140" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_nirziiJpLnltexj73xw773_yXPpnnSXtt3yUjq1OBCDJhlmdpslTrvw_AmuyZYWs-SP3OEyPySeG-QYQx5V9hThD7iONBZAjhmhlzBZmw_oAL09sO7yBPU-cj71-lKnSOK_v7WRXGmEE/s200/Potel&+Chabot.jpeg" width="200" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le Pavillon Cambon Capucines, géré <br />
par le traiteur Potel & Chabot</td></tr>
</tbody></table>
En 10 ans, l’offre réceptive en France s’est
considérablement structurée. D’abord, le nombre d’espaces dédiés à l’accueil de
séminaires et d’événements a augmenté. Il n’y a malheureusement pas de
statistiques pour le confirmer, mais les organisateurs reconnaissent
l’élargissement de l’éventail. Ensuite, le standard de qualité s’est élevé avec
l’exigence accrue des donneurs d’ordres et la nécessité d’émerger dans un
marché dont l’offre grandit, mais dont la demande stagne. Enfin, et c’est sur
ce point que je souhaite insister, la gestion de ces lieux a subi une profonde
révolution.<br />
<a name='more'></a><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR"><br /></span></b><br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR">Le lieu,
réservé en direct par le donneur d’ordres</span></b><br />
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">Le lieu est le premier fournisseur contacté
quand on décide d’organiser un événement. Et, dans la très grande majorité des
cas, la réservation est confirmée directement par le donneur d’ordres, avant
même le choix d’une agence, quand elle est nécessaire. La raison en est
simple : moi, organisateur, je négocie en direct le coût de la location de
l’espace, souvent le poste le plus élevé, pour ne pas avoir à payer les marges
indues prises par les intermédiaires, agences en tête. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">Mais ce simple changement d’attitude des
donneurs d’ordres a eu des conséquences importantes sur le marché. En contact avec
l’organisateur, le lieu obtient, de fait, une longueur d’avance pour répondre
aux besoins de production de l’événement : restauration, technique,
animation, accueil, hébergement… En termes de logistique et de régie, le lieu
choisi devient le centre opérationnel. Dit autrement, les annonceurs accordent
désormais davantage leur confiance aux gestionnaires de lieux pour assurer
l’organisation pratique. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR">Une
course à la gestion ou, par dépit, au référencement<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">La conséquence : une course effrénée à la
gestion de lieux événementiels avec des professionnels attentifs au moindre
espace qui se libère. Et la concurrence est rude. Les traiteurs, <a href="http://www.poteletchabot.com/fr/accueil.html" target="_blank">Potel & Chabot</a> et <a href="http://www.lenotre.com/FR/Sections/Celebration" target="_blank">Lenôtre</a> en tête, l’ont vite compris et ont été les premiers à se
transformer en gestionnaires de sites, où leur offre de restauration est, bien
sûr, exclusive. Depuis, tous les traiteurs courent, au mieux après la gestion
de lieux, au pire après le référencement, conscients de l’impact positif sur
leur business. Initialement prestataire et installateur général, <a href="http://www.gl-events.com/accueillir/presentation/presentation" target="_blank">GL events</a> gère
désormais 35 sites à l’international, pour près de 400 M€ de CA. Et le leader
incontesté de l’événementiel mondial achète aujourd’hui les événements (salons,
congrès…), capables de se tenir et de voyager dans les sites gérés. Après avoir
acquis Loriers Traiteur à Bruxelles, il se dit que le groupe cherche un
traiteur sur Paris. </span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">Né avec la formation puis le séminaire, <a href="http://www.eurosites.fr/fr/location-de-salle/nos-eurosites.html" target="_blank">Eurosites</a> exploite actuellement 45 sites en France, regroupant 450 salles et pouvant accueillir jusqu’à 2000
personnes. Aujourd’hui le groupe possède aussi 3 marques de traiteurs au sein d’Eurosites
Gastronomie et une offre d’organisation d’événements (<a href="http://www.eurosites-events.com/index.php" target="_blank">Eurosites Events</a>). On
peut citer Sodexo Prestige, Elior Événements, Jaulin ou encore l’agence
Shortcut, qui assure la régie d’accueil événementiel du Centre Pompidou. Tous
les acteurs de l’événement, prestataires techniques, d’animation ou autres,
cherchent aussi à s’attirer les faveurs de ces gestionnaires, quand ils ne se
transforment pas eux-mêmes en gestionnaires.</span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">Preuve également des prévisions positives du
secteur, de grands noms de la finance et du BTP, comme Fimalac (avec Véga) ou
Vinci (Stade de France) y voient un potentiel relais de croissance.</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span lang="FR">De
loueur de mètres carrés à prestataire de services<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">De loueur de mètres carrés, ces gestionnaires
de lieux sont donc devenus des prestataires de services. Reste pour eux à bien
maîtriser la relation clients, car ils sont aujourd’hui capables de les
fidéliser, grâce à leur offre multi-sites, mais aussi multi-services !
Dans tous les cas, ces gestionnaires de sites ont fait évoluer en profondeur le
secteur de l’industrie Event et Meeting en France. Et ça ne fait que commencer…</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-63303915709284872772012-04-18T14:46:00.002+02:002012-05-07T17:34:10.056+02:00L'éco-responsabilité n'existe pas<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEQMmpdzmKxntvxTSY5-iRb5dHzSsVmUkAqC4yvxqKMZQ2RkB2R5torlVi5kNs0VjMR6ukNwiuZDurkL74ztQykIELYlUGU7pWr6W44iLnntvWLdhSRSO-6dilpkN6OlcMtR63ZJsaBxTv/s1600/devpt_durable.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEQMmpdzmKxntvxTSY5-iRb5dHzSsVmUkAqC4yvxqKMZQ2RkB2R5torlVi5kNs0VjMR6ukNwiuZDurkL74ztQykIELYlUGU7pWr6W44iLnntvWLdhSRSO-6dilpkN6OlcMtR63ZJsaBxTv/s200/devpt_durable.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">C’est sûr, les déclarations d’intention sur le
développement durable (DD) et la responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE)
ne manquent pas sur le marché Event & Meeting. Du côté des donneurs d’ordres,
59% disent tenir compte de ces questions (étude annuelle 2012 Bedouk/Coach
Omnium). Chez les opérateurs, le collectif <a href="http://www.eco-evenement.org/" target="_blank">Éco-événement</a>, composé des 7
principales associations de la filière, s’engage à
promouvoir, depuis quelques années, une démarche éco-responsable et des
événements éco-conçus. </span></div>
<div class="MsoNormal">
Sur le terrain, la situation n’est pas aussi
glorieuse et n’indique aucun signe positif.</div>
<a name='more'></a>Pour preuve, j’ai personnellement
réalisé une étude à partir des compétitions auxquelles mes clients (agences,
lieux, prestataires) ont participé sur l’année 2011, compétitions menées pour
moitié par des entreprises et des collectivités territoriales. Sur 157 appels
d’offres, seuls 13 dossiers (soit 8,3%) intégraient des questions sur la
politique de DD et de RSE de leurs futurs fournisseurs. Sur ces 13
compétitions, 5 (soit 3,2% du total) avaient de véritables exigences, avec un
questionnaire imposant et précis. <br />
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b>La démarche RSE n'est pas un critère de choix pour les donneurs d'ordres</b></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR">La conclusion est claire : il n’y a pas,
chez les donneurs d’ordres, de prise en compte généralisée du DD et de la RSE
dans le choix des partenaires événementiels. L’étude Bedouk/Coach Omnium le
confirme en relevant que </span><span lang="FR">la
prise en compte environnementale par les prestataires MICE n’est que très
rarement déterminant dans le choix d’un partenaire. </span><span lang="FR">Je me
souviens d’ailleurs d’un leader mondial de la santé, prescripteurs d’un nombre
important d’événements de tous genres, qui n’a pas mentionné, dans une
compétition pour un référencement sur deux ans, la moindre question sur les
démarches environnementales et sociales de son futur partenaire. Alors que
l’entreprise s’est dotée en interne d’une charte parmi les plus exigeantes… </span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR"><o:p> </o:p></span><span lang="FR">Pour être tout à fait honnête, je dois vous
faire part d’une donnée importante : </span><span lang="FR">plus le budget est important et/ou plus
la collaboration est attendue longue, plus les demandes sur la DD et la RSE se
font précises et engageantes. Les 5 compétitions sur les 157 qui posaient des
questions précises, faisaient partie des 10 compétitions dont les budgets en
jeu étaient les plus élevés... Allez, je suis sûr que les chevaliers verts,
chantres de l’éco-responsabilité, se réjouiront de cette statistique !</span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span lang="FR"><b>Les opérateurs événementiels peu impliqués</b></span></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span lang="FR">Si
les organisateurs d’événements ne considèrent clairement pas le DD et la RSE
comme des critères de choix du partenaire événementiel, on ne peut pas dire que
les opérateurs soient globalement plus impliqués, malgré Éco-événement.
Certains intègrent bien dans leur offre un produit ou un service qu’ils disent
éco-responsable. On est davantage dans l’opportunité et la communication que
dans la démarche structurelle. J’en tiens pour preuve le taux très faible des
opérateurs qui ont adopté un référentiel reconnu garant de leurs efforts.
Combien d’agences, prestataires ou de lieux adhèrent aux <a href="http://www.eco-evenement.org/fr/Normes-27.html" target="_blank">ISO</a> 9001 (qualité),
18001 (social), 14001 (environnement), voire 26000 (responsabilité sociétale de
l’entreprise)* ? Hormis quelques palais des congrès, dont certains sont
soumis à une rude concurrence internationale, combien de lieux, d’agences ou de
prestataires se sont engagés dans cette voie ? <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span lang="FR"><b>Pourquoi si peu d'acteurs certifiés ?</b></span></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span lang="FR">À l'échelle
internationale se développe une norme <a href="http://www.iso.org/iso/fr/pressrelease.htm?refid=Ref1281" target="_blank">ISO 20121</a> prévue pour l’été et dédiée
spécifiquement au management d'un événement, quelque soit sa taille. Ce sont
les Anglais et les Brésiliens (organisateurs des deux prochaines éditions des
JO d'été) qui travaillent ensemble sur le sujet**. La France, terre
d’événements, est-elle active à la table de la réflexion ? Je n’ai aucune
information qui prouverait qu’elle le soit, ce qui montre encore une fois son
intérêt pour ce type de certification. Certes, on voit apparaître quelques
labels sectoriels (<a href="http://prestadd.fr/" target="_blank">PrestaDD</a>, dernier en date), dont les cahiers des charges
semblent sérieux, mais je n’arrive pas à comprendre pourquoi on dépense de
l’énergie à les créer et à les promouvoir, alors que l’ISO pourrait parfaitement
apporter une réponse. Je ne veux pas croire que le coût (entre 2000 et 10000
euros, selon la complexité de l’organisation) soit un frein. Alors, chers
professionnels de l’événement, qu’attendez-vous pour faire la différence et
émerger ?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<span lang="FR">Stop
aux discours d’intention éco-machins et place aux actions éco-responsables </span>visibles. La France est assurément en retard. La crédibilité des
donneurs d’ordres comme des opérateurs en dépend. Surtout dans un contexte de concurrence internationale.</div>
<div class="MsoNormal" style="mso-layout-grid-align: none; mso-pagination: none; text-autospace: none;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
</div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-49353117610974868372012-04-17T01:04:00.001+02:002012-04-17T01:16:43.805+02:00Le retour réjouissant de l’événement de rue<br />
<div class="MsoNormal">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUahYmF5yWtROpL5beaK4J_4wVEFI0Fn9t9XsSr8-Ygwi0RpVZk4ERBHjhN4_pa2gDrhEClR9I9f6ofziMliPWGx-n0DpxjY6XTQyz1CrinM8XvPT1jQ0rAl7vInpgpI91P3-pPPIh5xUG/s1600/Meeting+grand+public.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="127" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUahYmF5yWtROpL5beaK4J_4wVEFI0Fn9t9XsSr8-Ygwi0RpVZk4ERBHjhN4_pa2gDrhEClR9I9f6ofziMliPWGx-n0DpxjY6XTQyz1CrinM8XvPT1jQ0rAl7vInpgpI91P3-pPPIh5xUG/s200/Meeting+grand+public.jpg" width="200" /></a>L’espace public extérieur comme lieu d’événements… Jean-Luc
Mélenchon et sa (re)prise de la Bastille, Nicolas Sarkozy sur la place de la
Concorde ou François Hollande à Vincennes sont les derniers promoteurs en date de
l’événement de rue. À titre personnel, je me réjouis du succès populaire de ces
manifestations, indépendamment de toute considération politique ou de toute
polémique sur la participation.<br />
<a name='more'></a>Je pense même que le choix de réunir ses
supporters hors les murs est un élément constitutif de cette réussite. Les
marques ne s’y trompent d'ailleurs pas. Se prépare un nombre record de tournées
cet été.</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">2000-2010, une triste
décade <o:p></o:p></b></div>
<div class="MsoNormal">
Depuis les célébrations du passage à l’an 2000 jusqu’à
Nature Capitale en mai 2010, offert à Paris par le « <i>metteur en scène
d’arts de la rue</i> » Gad Weil, les événements de rue populaires ont été
rares durant cette première décade du 21<sup>e</sup> siècle. Hormis quelques
expositions de trains (encore Gad Weil, pour la SNCF en 2003) ou d’avions (100
ans du Gifas par Magic Garden Agency en 2008) sur les Champs Élysées parisiens, les
initiatives événementielles sont rentrés à l’intérieur, favorisées par
l’éclosion de grandes salles du type stades, Zénith, Agora ou la réouverture de
lieux chargés d’histoires événementielles comme le Grand Palais. La crainte des
attentats, dans un contexte international compliqué, a aussi eu raison des donneurs
d’ordres et d’autorisations ainsi que des créateurs et des sponsors. </div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Le dispositif
gagnant : idée forte, événement public, médiatisation<o:p></o:p></b></div>
<div class="MsoNormal">
Depuis Nature Capitale donc, l’espace urbain semble de
nouveau attirer les projets populaires d’envergure. Un Club de créateurs
d’événements grand public, regroupant 14 agences événementielles, a même vu le
jour en 2011 et récompense du Prix Raffut un « <i>dispositif de communication
hors norme à destination du grand public</i> ». Attribué à l’agence Double 2
en 2011, le prix a récompensé le M6 Mobile Mega Jump, le record du monde de
saut en roller depuis la Tour Eiffel par Taïg Khris. L’opération sera
d’ailleurs suivie du record du monde de saut en longueur en roller devant le
Sacré Cœur l’année suivante. </div>
<div class="MsoNormal">
La mécanique de ces dispositifs, qui ont été récompensés par
de multiples trophées, a évolué et préfigure de l’événement de rue de
demain. On y trouve :</div>
<div class="MsoNormal">
- un concept original, porté par une figure emblématique et
fédératrice,</div>
<div class="MsoNormal">
- une communauté d’intérêt, un public de fans, qui se mobilise,</div>
<div class="MsoNormal">
- une montée en puissance grâce aux médias sociaux et à la
puissance du web, </div>
<div class="MsoNormal">
- un ou des sponsors qui y voient un contenu fort pour leurs marques, et qui financent,</div>
<div class="MsoNormal">
- une collectivité territoriale qui adhère au projet et en
espère des retombées,</div>
<div class="MsoNormal">
- un événement live sur l’espace public, scénographié,</div>
<div class="MsoNormal">
- un média qui retransmet en direct l’opération,</div>
<div class="MsoNormal">
- des images fortes qui permettent de faire durer
l’événement dans le temps.</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
Au-delà de tenter une analyse des clés du succès, je veux poser trois questions aux
professionnels. Comment garantir que la stratégie n’efface pas
l’émotion ? Est-il possible de satisfaire à la fois et au même moment le
spectateur qui fait le déplacement et le téléspectateur derrière son écran ? Comment se mesure un succès grand public ?</div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-52631488394496180822012-04-16T00:22:00.001+02:002012-04-16T00:28:11.775+02:00Les acheteurs peinent avec l’événementiel<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSP7jDI85qAY6ODCMF_nBQoIW_b2RZQRU-6MQjLEIyrOc-1of5NuSkWkLYxznlYPWghzq-688rVqKw9zDiBi1pNR1IalzlLHEZCJgsUPPK_mJAvK6eFiTQOcIp89-crn6kCHIR0moSilU-/s1600/direction+des+achats.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="120" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSP7jDI85qAY6ODCMF_nBQoIW_b2RZQRU-6MQjLEIyrOc-1of5NuSkWkLYxznlYPWghzq-688rVqKw9zDiBi1pNR1IalzlLHEZCJgsUPPK_mJAvK6eFiTQOcIp89-crn6kCHIR0moSilU-/s200/direction+des+achats.jpg" width="200" /></a></div>
Les séminaires et les événements échappent encore largement
aux fourches caudines des acheteurs. Rares sont les entreprises qui maîtrisent
assez le marché pour élaborer une vraie stratégie d’achats. J’observe en plus,
chez celles qui s’y intéressent et investissent du temps, un certain renoncement. Alors que les enjeux
sont très loin d’être négligeables, compte tenu des budgets mis en œuvre.<br />
<div class="MsoNormal">
<a name='more'></a></div>
<div class="MsoNormal">
<b>Un type d'achats difficile à cerner</b></div>
<div class="MsoNormal">
Plusieurs raisons concourent à cette résignation. D’abord,
les prescripteurs internes sont multiples et dispersés dans l’entreprise. Chez
un constructeur automobile, j’en ai compté jusqu’à 70 de premier ordre au siège
social. Il n’y a pas en outre de direction des événements transversale. Quand
elle existe, elle dépend alors de la communication et ne maîtrise donc pas les
événements organisés par les autres directions opérationnelles. Ou alors, elle
fonctionne comme une régie événementielle interne et ne gère que les
manifestations que le reste de l’entreprise veut bien lui soumettre. Difficile,
dans ces conditions, d’avoir un vrai contrôle budgétaire.</div>
Par ailleurs, l’organisation de séminaires ou d’événements
est l’un des derniers prés carrés des collaborateurs qui en sont responsables, un temps suffisant pour leur faire oublier les contraintes du quotidien
professionnel, entre réunions, objectifs et reporting… Ensuite, pour un
événement stratégique qui implique la direction générale, les organisateurs
privilégient la satisfaction des dirigeants à la rigueur budgétaire. Pour
couronner le tout, je suis surpris par l’absence de mémoire événementielle dans
l’entreprise. Pas de bonnes pratiques à promouvoir, pas de mauvaises non plus
d’ailleurs…<br />
<div class="MsoNormal">
<b>Les stratégies sont à construire</b></div>
<div class="MsoNormal">
Chez les acheteurs, l’événementiel fait de la résistance,
alors qu’aucune autre dépense n’échappe à leur rigueur. Cette situation arrange
tout le monde : depuis les entreprises, qui ne savent pas appréhender donc
préfère ignorer la réalité de ces dépenses, certes souvent utiles, jusqu’aux
opérateurs événementiels, agences en tête, qui, il faut l’avouer, ne pratiquent
pas une politique de prix très transparente ! La question est de savoir
jusqu’à quand ces postures perdureront-elle ? Jusqu’au moment où les
entreprises qui persisteront trouveront la bonne formule. Une formule qui
intègrera sans aucun doute un sourcing éclairé des professionnels du secteur (y
compris des prestataires), une collaboration interne forte entre les
opérationnels et les acheteurs, un référencement et une consolidation des
fournisseurs, des règles du jeu simples (qui définissent précisément les
prérogatives de l’acheteur, de l’opérationnel et des fournisseurs) et, pourquoi pas, un
accompagnement par des consultants spécialisés, véritables connaisseurs du
marché et de ses acteurs !</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-24979518694906281042012-04-13T12:29:00.002+02:002012-04-17T17:33:01.158+02:00Vers l'externalisation de la fonction "chef de projets"<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEho6IRFP18F-u7UyMe-zZF5BLypVCqIeI43_smNvWTuxLTEdKrCG93NNLJ3UiPXHEFr_XFt0DVg-rfMnGnNLf79uIF8BsAyTsEPglFxC8tUPj6OJ6TiyXRZosEvLi9uehlT75YEePiXphYb/s1600/chef_d_orchestre.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="110" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEho6IRFP18F-u7UyMe-zZF5BLypVCqIeI43_smNvWTuxLTEdKrCG93NNLJ3UiPXHEFr_XFt0DVg-rfMnGnNLf79uIF8BsAyTsEPglFxC8tUPj6OJ6TiyXRZosEvLi9uehlT75YEePiXphYb/s200/chef_d_orchestre.jpg" width="200" /></a>J'observe que le chef de projets, collaborateur salarié d'une agence événementielle, est en voie de disparition. La fonction subit, avec la période économiquement tendue que nous traversons, de profondes modifications. Beaucoup d'agences événementielles ont réduit la voilure devant l'incertitude du business, une donnée inhérente au marché, mais qui s'est amplifiée ces derniers temps. Et les premières victimes ont été les chefs de projets, dont le nombre a, selon moi, considérablement diminué en tant que collaborateurs en CDI.<br />
<a name='more'></a><br />
<br />
<b>Des chefs de projets désormais free lance</b><br />
Les agences se sont de plus en plus structurées en mode projet. Elles font donc appel au chef de projet seulement quand l'affaire est gagnée. Le chef de projet<b><u>s</u></b> devient le chef du projet, appelé quand c'est nécessaire. Il est donc de plus en plus employé en CDD, mais ce sont les statuts d'intermittent ou d'auto-entrepreneur qui sont déjà privilégiés. Les agences se sont recentrées sur les fonctions de développement commercial, souvent assuré par le ou les associés, de direction de création, pour conserver la maîtrise du contenu et de l'idée, leur valeur ajoutée, et parfois de direction de clientèle, pour développer les trop rares clients fidélisés. Après avoir externalisé les fonctions de production et de logistique il y a bien longtemps, elles se séparent donc de la maîtrise d'oeuvre opérationnelle, et ce qui s'en suit comme la coordination du projet ou, pendant la phase terrain, le contact avec le client.<br />
<br />
<b>Les agences perdent une partie de la relation clients</b><br />
Cette tendance a un double impact. Elle démontre, en premier lieu, que l'agence mise d'abord sur sa créativité pour se développer et faire la différence, et non sur sa capacité de produire. La production d'événement, dans toutes ses dimensions, s'est effectivement professionnalisée. Même si la mise en place en place d'un événement nécessitera toujours vigilance et concentration, la qualité de réalisation s'est considérablement améliorée. Et les agences ont raison de se concentrer sur l'idée, sur la mécanique, sur le dispositif, sachant qu'elles sauront trouver les professionnels adéquats pour réaliser. Mais, dans un deuxième temps, le rôle joué par le chef de projets (avec un s) salarié dans la relation clients n'est pas remplacé. En interne, le chef de projets était un vecteur supplémentaire de la culture et de la valeur ajoutée de l'agence, un lien incontournable avec les donneurs d'ordres. Et ce rôle-là, que je juge essentiel, n'est donc plus assuré par un salarié de l'agence, mais par un chef de projet (sans s) qui vend sa compétence à plusieurs structures concurrentes.<br />
<br />
Toutes les études sur la relation agence-annonceur montrent que les entreprises militent pour plus de proximité avec leurs agences. Et je ne suis pas sûr que l'externalisation de la fonction "chef de projets" aille dans ce sens...<br />
<br />
<br />Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7628087217832520509.post-49561940491619260292012-04-12T19:14:00.003+02:002012-04-13T10:35:29.619+02:00Provence Côte d'Azur Events ignore Cannes<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsNm7Xj3fIa-AWSMNsT8O90DlXsyn3K3AILvjMlgrPgLeTqrEiSwffiesWtXdCm-H6wj-yudNjsg0Wx3ryLRYnnF0OvKp9Gg_rnQ09S8fVNLTydjW3NHbwkkOXPFKr7tuhyYnEWNPfJ92F/s1600/Presentation+PCE.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsNm7Xj3fIa-AWSMNsT8O90DlXsyn3K3AILvjMlgrPgLeTqrEiSwffiesWtXdCm-H6wj-yudNjsg0Wx3ryLRYnnF0OvKp9Gg_rnQ09S8fVNLTydjW3NHbwkkOXPFKr7tuhyYnEWNPfJ92F/s200/Presentation+PCE.jpg" width="83" /></a></div>
La campagne de promotion de Provence Côte d'Azur Events révèle une carte du tourisme d'affaires régional tout à fait étonnante. Cannes a disparu du littoral azuréen... Comment, quand on s'appelle Provence Côte d'Azur Events, peut-on ignorer la ville qui, après Paris, accueille le plus de congrès en France ? Pourquoi ne pas simplement mentionner une ville dont le tourisme d'affaires génère tout de même 900 millions d'euros par an à l'économie du territoire ?<br />
<a name='more'></a><br />
<b>Nice et Marseille, pas encore au niveau</b><br />
J'imagine bien que Cannes n'adhère par à Provence Côte d'Azur et doit son absence sur la carte à sa non-participation au Convention Bureau de Paca. Alors je m'interroge sur la légitimité des objectifs d'une structure qui n'a pas su séduire la locomotive événementielle régionale, y compris à l'international. Même si, j'en conviens, Cannes ne constitue pas la seule destination attractive. Il faut malgré tout avouer que les capitales régionales n'ont pas le même niveau développement. Nice est en phase de reconquête de son image événementielle et Marseille, qui souffre d'un manque d'équipements, compte sur Marseille Provence 2013-Village européenne de la culture pour émerger. Et ce n'est pas faire offense aux autres villes que de dire qu'elles ne peuvent pas, quels que soient leurs atouts, prétendre au même rayonnement.<br />
<b><br /></b><br />
<b>Des stratégies touristiques compliquées à mettre en oeuvre</b><br />
Plus généralement, je m'interroge sur la capacité des territoires à promouvoir efficacement et de façon coordonnée leur offre de tourisme d'affaires, surtout à l'international. Chaque ville, communauté d'agglomération, métropole, département ou région, sans parler de la France, développe souvent sa propre stratégie sans lever les yeux sur ce qui se fait dans le territoire d'à-côté. La compétence touristique est diluée, la gouvernance compliquée, les moyens dispersés. Et on se retrouve avec des aberrations comme l'absence de Cannes sur une carte régionale. <br />
<br />Lionel Malardhttp://www.blogger.com/profile/03757125044486381506noreply@blogger.com0